TAG : Gestion d'entreprise

  • Une des premières étapes à accomplir au moment de la création de son entreprise

    La domiciliation de votre entreprise correspond à l’adresse de son siège social.

    La Maison de l’Entrepreneur vous accompagne dans toutes vos démarches et notamment dans la domiciliation de votre entreprise.

    Le choix du lieu d’implantation de son siège social est un élément stratégique qui aura un impact tout au long de la durée de vie de votre entreprise.Notre partenaire vous propose une sélection d’adresses prestigieuses à Paris et en Ile de France avec des formules adaptées à tous les profils.

    En savoir plus sur l’immatriculation d’entreprise

    RécapitulatifBénéficiez ...
    En savoir plus sur la ressource
  •  

    Préface de Bruno LE MAIRE, ministre de l’Économie et des Finances

    « Lancer son entreprise est toujours une aventure. Non seulement en raison des risques que tout projet entrepreneurial comporte. Mais aussi parce qu’un entrepreneur doit faire face à des obligations multiples, à des règles complexes. Pour celui qui voudrait se lancer, ce maquis de règles et de démarches peut être intimidant, et même décourageant.

    Pourtant, nous avons besoin de l’énergie que les entrepreneurs apportent à notre économie. Nous devons les aider à concrétiser leur projet, les inciter à se lancer, en les guidant dans la création de leur entreprise. C’est tout le but ...

    En savoir plus
  • L’EXAMEN de CONFORMITE FISCALE permet à un professionnel de valider des points de l’organisation comptable et fiscale d’une entreprise.

    Il s’agit de l’émission d’une déclaration précisant que l’entreprise auditée respecte dix points de contrôle précis. Cet Examen est annuel.

    Quels sont les avantages de l’ECF ?Pourquoi recourir à l’ECF ?Quelle est la procédure pour mettre en place un examen de conformité fiscale ?

    > Découvrez les conseils de mise en conformité fiscale de notre partenaire Chiffre et Synthèse

    Voir la réponse
  • Et si on vous expliquait comment réduire l’impôt sur les sociétés de votre entreprise ?

    La clôture des comptes de votre société a lieu le 31 décembre 2021, alors, vous avez encore le temps d’adopter de nouvelles procédures afin de réduire le montant de votre impôt 2021 sur les sociétés.

    Inscrivez-vous et réservez votre place dès maintenant à notre prochaine conférence gratuite et en ligne du 07 décembre 2021 afin d’obtenir toutes informations utiles et nécessaires.

    « COMMENT PAYER MOINS D’IMPÔTS SUR LES SOCIETES EN 2021 »Le 7 décembre à 18h30, Frédéric TURBAT vous expliquera quels sont les frais ...

    En savoir plus sur la conférence
  • Maison de l'entrepreneur - Conférences gratuites

    La Maison de l’Entrepreneur vous propose diverses offres en partenariats avec ses partenaires Force femmes, SeDomicilier.fr et Manager.One .

    Force femmes

    Force femmes est une association créée en 2005 par des femmes chefs d’entreprise. Ce projet est né d’une dynamique collective de solidarité de femmes qui ont désiré s’engager personnellement sur le thème de l’emploi.

    Les bénévoles de Force Femmes mettent leur savoir et leur expérience au profit de chaque femme de plus de 45 ans qui sollicitent l’association afin d’être accompagnée dans leur projet entrepreneurial.

    En savoir plus sur www.forcefemmes.com

    SeDomicilier.fr

    SeDomicilier.fr est une véritable ...

    En savoir plus sur la ressource
  • Le 30 août dernier, Bruno Le Maire a annoncé l’évolution des mesures d’accompagnements  des entreprises impactées par la crise sanitaire, La Maison de l’Entrepreneur les décrypte pour vous…

    Fonds de solidarité

    Arrêt des versements du Fonds de solidarité à parti du 30 septembre.

    2 millions d’entreprise ont profité de ce dispositif spécialement créé pour venir en aide aux  entreprises touchées par la crise sanitaire. Le montant total de cette aide s’élève à 35 milliard d’euros.

    Depuis juin et jusqu’au mois d’août, cette aide était réservée aux entreprises des secteurs S1 et S1bis.

    Au mois de septembre, pour en bénéficier,  ces entreprises devront  justifier d’une baisse ...

    Voir la réponse
  • Comment se passe votre recherche de financement ? Validation du dossier à présenter aux financeurs, ainsi que des données financières du business planDéfinition d’une stratégie de financement de l’acquisition de la cibleÉmission d’une note de synthèse destinée aux Rendez-Vous avec les financeurs identifiésMise en relation avec des banques et des organismes de financement et de garantie spécialisées dans les opérations de reprises (partenaires de la Maison de l’Entrepreneur)

    En savoir plus sur la ressource
  • Reprise d'entreprise : 50 clés pour réussir - Frédéric Turbat
    Résumé

    La reprise d’entreprise n’est pas uniquement une question de chiffres et de méthodes d’évaluations. En 50 questions pratiques, avec une approche très nouvelle, l’auteur donne les outils nécessaires pour réussir cette transaction, tant sur les aspects courants (évaluation, montage juridique, fiscalité, etc.) que sur la dynamique humaine (management, conduite du changement).

    Frédéric Turbat, ancien de PriceWaterhouseCoopers et Mazars, est expert-comptable et commissaire aux comptes. Responsables d’un cabinet de quinze personnes et d’une société de formation professionnelle, il anime régulièrement des conférences et des séminaires destinés à des créateurs et repreneurs d’entreprises. Il est l’auteur aux Éditions Privat de Créateurs d’entreprise, lancez-vous !

    Sur ...

    En savoir plus
  • Faut-il vraiment écrire un business plan
    Business plan de reprise Etablissement ou relecture critique du business plan de repriseAppréciation des hypothèses de travail,Etablissement d’un compte de résultat prévisionnel des 12 premiers moisEtablissement d’un compte de résultat annuel sur les années 2 et 3, après la repriseEtablissement d’un plan de trésorerie mensuel des 12 premiers moisRédaction du plan de financement initialProduction d’une note de synthèse destinée aux financeurs
    En savoir plus sur la ressource
  • Toute reprise d’entreprise constitue l’aboutissement d’un processus assez exaltant, mené par le repreneur et son entourage et consacre le début d’une nouvelle vie, souvent très différente de la précédente, tant sur le plan professionnel que personnel.

    Un projet de cette ampleur doit être mené en étant conscient des risques pris et à prendre pour le repreneur. L’objet de ce livre blanc n’est pas de se faire peur et de faire fuir tout prétendant à une reprise d’entreprise !

    Bien au contraire, notre expérience nous montre que les aspects financiers (évaluation, audit d’acquisition,…) et juridiques (garanties de passif, audit des contrats, etc.) constituent ...

    En savoir plus
  • Frédéric TURBAT vous expliquera quels sont frais déductibles de votre entreprise et quelle économie d’impôt vous pouvez réaliser ?

    Frais professionnels (limites fiscales, dépenses autorisées ou interdites …) Frais mixtes Frais antérieurs à la création Les frais de déplacements, la voiture La protection sociale …

    En fin de conférence, une séance de questions-réponses vous permettra de poser toutes vos questions sur la création, reprise et gestion d’entreprise.

     

    En savoir plus sur la conférence
  • Cette aide exceptionnelle est opérationnelle depuis le 31 mars 2021.Elle vise à prendre en charges les coûts fixes qui ne sont pas couvert par les assurances, les aides publiques ou les recettes.

    Elle peut compenser, dans la limite de 10M€ sur le premier semestre de l’année 2021 :

    70% des pertes d’exploitation pour les entreprises de plus de 50 salariés90% des pertes d’exploitation pour les entreprises de moins de 50 salariés Qui est concerné ? Les entreprises qui ne peuvent accueillir le public du fait de l’interdiction d’accueilLes entreprises appartenant au secteur du « PLAN TOURISME » (FDS-ListesS1-S1bis-08-02-2020.pdf (economie.gouv.fr)Les entreprises ayant au moins ...
    Voir la réponse
  • Formation à la gestion d'entreprise
    Apprendre à gérer sa comptabilitéApprendre à saisir les opérations comptables courantesApprendre à lire les états financiers
    En savoir plus sur la formation
  • Au moment d’immatriculer son entreprise et de se « jeter » à l’eau, la question se pose souvent de savoir quel est le niveau de charges fixes auxquels l’entrepreneur devra faire face. Listons ici les dépenses obligatoires et fixes, que toute entreprise doit payer, en centrant l’analyse sur les activités de conseil ou de prestation intellectuelle. Il s’agit d’apprécier le risque minimal pris par un entrepreneur qui se lance dans une aventure entrepreneuriale.

    Commençons tout d’abord par le consultant auto-entrepreneur !

    A première vue, un micro entrepreneur qui n’encaisse aucun produit de ses prestations de conseil ne supporte aucun coût. C’est d’ailleurs un argument (à manier ...

    Voir la réponse
  • Vous  souhaitez créer votre entreprise et avez des questions sur l’organisation des charges sociales et impôts ? Inscrivez-vous gratuitement !

    Le programme Quels leviers pour réduire ses impôts ? Comment organiser sa fiscalité personnelle et celle de son son entreprise ? Quels sont les frais déductibles ? Questions – réponses.

    La conférence est animée par Frédéric TURBAT, expert-comptable, spécialiste de la création d’entreprise.

    Le livre « Créer son entreprise, un expert-comptable répond à 130 questions pratiques. », écrit par Frédéric TURBAT et préfacé par le ministre de l’Économie et des Finances Bruno LE MAIRE, un exemplaire sera offert à chaque participant.

    En savoir plus sur la conférence
  • Description des principaux éléments à étudier pour définir le statut juridique, fiscal et social de votre entreprise selon votre profil. Avantages et inconvénients de chacun des statuts au lancement et au cours de la vie de votre entreprise. Quels sont les droits et devoirs du chef d’entreprise en fonction de chaque statut. Les pièges à éviter (mélange du patrimoine personnel et professionnel, assurance, retraite…). Point sur les évolutions législatives en cours. Questions – réponses.

     

    La conférence est animée par Frédéric TURBAT, expert-comptable, spécialiste de la création d’entreprise.

    Le livre « Créer son entreprise, un expert-comptable répond à 130 questions pratiques. », écrit par Frédéric TURBAT et préfacé par le ...

    En savoir plus sur la conférence
  • Audit acquisition
    En quoi consiste un audit d’acquisition ?

    Les experts de la Maison de l’Entrepreneur, travaillent en partenariat avec le cabinet d’expertise comptable et de commissariat aux comptes CHIFFRE & SYNTHESE pour accompagner tout repreneur dans la phase d’audit :

    Revue des comptes, en relation avec les confrères présents sur le dossier cible (experts-comptables et commissaires aux comptes)Examen critique des niveaux de résultatsAudit sur les principales zones de risquesAppréciation des incidences sur la valorisation de la société cibleSynthèse et rapport d’audit

    Les intervenants sont des experts-comptables en activité.

    En savoir plus sur la ressource
  • Frédéric Turbat lance un nouveau format de vidéo :

    Les conseils d’un expert !

    Retrouvez aujourd’hui la première vidéo : « Dividendes et allocations chômage est-ce compatible et opportun ?

    Pour plus de renseignements contactez-nous sur : contact@lamaisondelentrepreneur.com

    Voir la vidéo
  • Le Programme

    Description des principaux éléments à étudier pour définir le statut juridique, fiscal et social de votre entreprise selon votre profil.

    Avantages et inconvénients de chacun des statuts au lancement et en cours de vie de votre entreprise.

    Quels sont les droits et devoirs du chef d’entreprise en fonction de chaque statut.

    Les pièges à éviter (mélange du patrimoine personnel et professionnel, assurance, retraite, etc…)

    Point sur les évolutions législatives en cours

    Questions – Réponses

    Vous repartirez avec :

    Des documents utiles en lien avec la conférence; Des offres exclusives.

    En savoir plus sur la conférence
  • statuts juridique et charges sociales

    Frédéric TURBAT, expert-comptable, détaille les leviers pour optimiser le poids fiscal et social:

    Que signifie OPTIMISER ?Les vases communicants entre l’entreprise et la fiscalité personnelleOptimiser grâce aux STATUTS JURIQUESOptimiser grâce aux FRAIS MIXTESOptimiser grâce aux DIVIDENDES !!!!Optimiser grâce aux CREDITS D’IMPOTS et aides fiscalesLes Fausses bonnes idées !!Tentative de conclusion…. et surprise !
    Voir la vidéo
  • La reprise d’entreprise n’est pas uniquement une question de chiffres et de méthodes d’évaluations.
    En quoi consiste l’évaluation ?

    Il s’agit d’une intervention d’avocats en activité afin de sécuriser l’environnement juridique de la société cible :

    Etablissement d’une check list des points de contrôle en fonction des spécificités de la société auditéExamen des contrats de travailVie juridique de la sociétéAppréciation des contrats spécifiques (distributions, approvisionnement, partenariat, etc)Synthèse et rapport d’audit
    En savoir plus sur la ressource
  • omment calculer les dividendes d'une société

    Depuis le 1er janvier 2019, l’impôt sur le revenu est prélevé directement sur les revenus salariaux, les revenus indépendants ou agriculteurs, des revenus des retraités et de remplacement ou revenus fonciers.

    La Maison de l’Entrepreneur vous explique les quelques changements liés à cette réforme puis comment les créateurs d’entreprise peuvent bénéficier d’avantages fiscaux grâce au prélèvement à la source.

    Voir la vidéo
  • comment choisir le statut juridique de mon entreprise
    Description des principaux éléments à étudier pour définir le statut juridique, fiscal et social de votre entreprise selon votre profil Avantages et inconvénients de chacun des statuts au lancement et en cours de vie de votre entreprise Quels sont les droits et devoirs du chef d’entreprise en fonction de chaque statut Les pièges à éviter (mélange du patrimoine personnel et professionnel, assurance, retraite, etc..) Questions – Réponses
    En savoir plus sur la conférence
  • Se préparer à la reprise
    Des experts pour répondre à vos interrogations

    Les experts de la Maison de l’Entrepreneur peuvent vous recevoir pour un premier entretien afin de répondre à vos questions et envisager une éventuelle collaboration.

    Ces rencontres durent environs 30 à 40 minutes et permettent le plus souvent de traiter un assez grand nombre de sujets.

    Les experts de la Maison de l’Entrepreneur sont susceptibles de répondre à des problématiques précises sur des projets de création ou de reprise d’entreprises, déjà bien avancés de votre côté.

    Contactez-nous, en nous exposant les principales questions ou sujets sur lesquels vous souhaiteriez recueillir nos conseils et notre approche.

    Nous vous recontacterons ...

    En savoir plus sur la ressource
  • Quel est l'objectif du Business Plan ?
    Les clés pour choisir : Dividendes ou rémunération ? Comment se rémunérer ? Quelles sont les incidences de la rémunération sur le résultat de la société, les charges sociales et la fiscalité personnelle ? Comment optimiser sa rémunération ?

    Voici quelques-unes des questions que nous aborderons durant cette conférence afin d’identifier ce qui peut se faire, ce qui doit se faire… et ce qui n’est pas possible !

    En savoir plus sur la conférence
  • A quoi penser avant de s'immatriculer ?
    Quel impact a le choix du statut juridique sur le statut fiscal ? Quel arbitrage entre impôt sur le revenu et impôt sur les sociétés ? Et les dividendes ?

    Un échange de questions-réponses avec l’animateur Frédéric Turbat, expert-comptable et fondateur de La Maison de l’Entrepreneur, vous permettra ensuite d’obtenir des réponses concrètes adaptées à votre cas personnel.

    En savoir plus sur la conférence
  • Statut fiscal et social du dirigeant
    Contactez nous

    Nom

    Email

    Question* Champs requis

    En utilisant ce formulaire, j'accepte la transmission et la conservation de ces données Je m'abonne à la newsletter

    En savoir plus sur la ressource
  • La maison de l'entrepreneur vous donne toutes les clés pour créer ou reprendre son entreprise en 2018.
    Un constat édifiant

    60 000 entreprises sont mises en vente chaque année et la moitié d’entre elles disparaissent faute de repreneur…

    La transmission d’entreprise est donc un réel enjeu et devient une très excellente opportunité entrepreneuriale.

    Le fondateur de la Maison de l’Entrepreneur, Frédéric TURBAT, expert-comptable, nous donne ses conseils destinés à tous ceux qui souhaitent reprendre une entreprise.

    Il aborde les avantages, les inconvénients de la reprise d’entreprise ainsi que les points sur lesquels les repreneurs devraient être vigilant.

    Voir la vidéo
  • Rédiger la partie financière de son Business Plan

    En partenariat avec la Mairie du 9ème arrondissement de Paris, BPI France et la Société générale, la Maison de l’Entrepreneur aborde le temps d’une soirée la question du financement d’entreprise.

    En effet, l’aspect financier constitue une part primordiale lorsque l’on veut se lancer dans une aventure entrepreneuriale.

    Ces professionnels de la création et de la reprise d’entreprise vous livrent leurs expériences et conseils en tout genre afin que vous ayez les clés pour financer votre projet.

    Voir la vidéo
  • Que faire de toutes les dépenses antérieures à la reprise ?
    Quelles dépenses peuvent se déduire d’un bénéfice ? Si je travaille de chez moi, puis-je faire supporter une partie du coût de mon appartement par mon entreprise ? Et mon portable ? Et mes vêtements ?
    En savoir plus sur la conférence
  • Comment bien évaluer une entreprise pour la vendre … ou l’acheter

    Avant de vendre ou d’acheter une entreprise il est nécessaire de bien connaître la valeur du bien pour réussir sa transmission ou sa reprise d’entreprise.

    Maîtrisez les différentes méthodes pour une évaluation réussie tant pour les repreneurs que pour les cédants !

    En savoir plus sur la conférence
  • Les clés pour choisir son statut juridique
    Description des principaux éléments à étudier pour définir le statut juridique, fiscal et social de votre entreprise selon votre profil. Avantages et inconvénients de chacun des statuts au lancement et en cours de vie de votre entreprise. Quels sont les droits et devoirs du chef d’entreprise en fonction de chaque statut. Les pièges à éviter (mélange du patrimoine personnel et professionnel, assurance, retraite, etc…) Un point sur les évolutions législatives Questions – Réponses

    La conférence sera suivie d’une séance de dédicace du livre de Frédéric Turbat, « Créer son entreprise : un expert-comptable répond à 150 questions pratiques ».

    En savoir plus sur la conférence
  • Rédiger la partie financière de son Business Plan

    Avant de s’immatriculer ou pendant la vie de son entreprise, il est indispensable de se poser et de trouver les chiffres qui traduisent l’activité envisagée.

    Nous aborderons les questions à se poser et proposerons une démarche pratique pour ne rien oublier au moment de bâtir son fameux business plan.

    En savoir plus sur la conférence
  • A quoi penser avant de s'immatriculer ?

    A l’occasion de la 40ème édition pour les conférences mensuelles gratuites, la Maison de l’Entrepreneur organise une conférence spéciale : nous répondons à toutes les questions sur trois thématiques !

    Lors de la conférence, l’intervenant Fréderic TURBAT, expert-comptable et fondateur de la Maison de l’Entrepreneur répondra en direct à toutes les questions sur les thèmes suivants :

    Thème Juridique : statuts, protection du patrimoine, etc. Thème Fiscal : dépenses déductibles, frais, etc. Thème Social : quelles protections sociales ? Coût ? RSI ?

    Vous pouvez préalablement poser votre question en remplissant le formulaire d’inscription.

    En savoir plus sur la conférence
  • A quoi penser avant de s'immatriculer ?
    Comment protéger le patrimoine de l’entreprise ? Comment choisir la forme juridique d’une entreprise ? Quelle est le meilleur statut pour une entreprise ? Qu’est ce qui change en 2018 ? Conseils pratiques Questions – Réponses
    En savoir plus sur la conférence
  • Quel statut juridique pour mon projet ?
    Description des principaux éléments à étudier pour définir le statut juridique, fiscal et social de votre entreprise selon votre profil. Avantages et inconvénients de chacun des statuts au lancement et en cours de vie de votre entreprise. Quels sont les droits et devoirs du chef d’entreprise en fonction de chaque statut. Les pièges à éviter (mélange du patrimoine personnel et professionnel, assurance, retraite, etc…) Un point sur les évolutions législatives L’ouverture d’un compte bancaire Questions – Réponses
    En savoir plus sur la conférence
  • Il est courant d’entendre dans des discussions entre entrepreneurs ou sur des forums sur Internet des critiques sur l’ancien régime du RSI, à la fois quant à ses difficultés d’organisation, mais aussi sur la nature de la protection sociale et son coût.

    Le régime de Sécurité sociale des indépendants protège-t-il moins que le régime des salariés ?

    La réponse est… NON ! La nature de la protection sociale, les prestations sous le couvert de ce que l’on nomme habituellement « lasécu » sont identiques entre le régime salarié et le régime des non-salariés, à l’exception de cotisations de prévoyance qui sont obligatoires ...

    Voir la réponse
  • S’il est une critique forte que l’on entend immédiatement après le conseil « essaie de ne pas apparaître dans la société que tu constitues », c’est bien celle d’être contraint de payer sans cesse ! Cette remarque, du reste également émise par des entrepreneurs au long cours, repose essentiellement sur les procédures de déclaration applicables aux professionnels.

    Une personne qui quitte le salariat passe d’un régime où elle ne communiquait que très peu d’informations à l’administration à un système reposant sur un flux de données du contribuable vers l’État. En effet, un salarié produit le plus souvent deux déclarations, dont l’une ...

    Voir la réponse
  • Cette remarque est très souvent entendue dans la population des créateurs d’entreprise, particulièrement en SARL et EIRL. Les statistiques sont plus faibles parmi les entrepreneurs en SAS ou accompagnés par le Pôle emploi. Or, si l’assertion « les deux premières années, ça va ; la troisième, tu déposes le bilan » est si courante, c’est surtout en référence aux charges sociales.

    Certains entrepreneurs éprouvent des difficultés de trésorerie la troisième année, du fait d’un rattrapage de charges sociales. Pour traiter cette question, faisons un rappel succinct des modalités de paiement des charges, avant de se pencher sur la manière dont on ...

    Voir la réponse
  • Si une société est constituée avec un capital de 5 000 € et qu’aucune modification n’intervient sur le capital – augmentation ou réduction, c’est-à-dire remboursement partiel aux associés –, 10 ans plus tard elle indiquera toujours sur son papier à en-tête : « SARL au capital de 5 000 € ».

    Le terme « bloqué » fait référence à une notion juridique. Le législateur a souhaité pendant de nombreuses années que les sociétés aient un capital minimum de 50 000 F, dans l’idée d’inciter les créateurs à verser suffisamment d’argent pour pouvoir financer leurs premières dépenses (loyer, achats de stock, etc.).

    L’argent ...

    Voir la réponse
  • On entend parfois des entrepreneurs réagir à leurs déboires professionnels en mettant en cause la TVA comme unique source de leurs difficultés financières et in fine de l’arrêt de l’activité.

    La question peut se poser de savoir si l’entreprise doit avancer de la trésorerie à l’État ou non. Il faut distinguer les activités de prestation de services et de livraison de biens.

    Activités de prestation de services

    Le principe est simple et clair : la TVA facturée au client est à reverser à l’État si et seulement si le client a payé. Donc, dans ce type d’activités (conseil, restauration, transport, services à ...

    Voir la réponse
  • Un particulier peut donner de l’argent à des associations d’intérêt général, des fondations ou des structures de formation habilitées à recevoir des dons, et bénéficier d’un avantage fiscal.

    Les deux tiers de la somme donnée sont récupérés en minoration du montant de leur impôt sur le revenu. Le plafond est assez élevé.

    L’entreprise, quelle que soit sa forme juridique, peut devenir un lieu complémentaire où l’entrepreneur exercera sa générosité, tout en bénéficiant d’un allégement fiscal.

    C’est d’ailleurs dans cette dynamique qu’il a été institué le fonds de dotation de la Maison de l’Entrepreneur, avec pour objectif de canaliser des dons en provenance ...

    Voir la réponse
  • Une activité commerciale, particulièrement en phase de lancement, suppose un effort redoublé de communication et des démarches commerciales fortes, à défaut d’être innovantes.

    Les cadeaux aux clients font généralement partie de l’arsenal à disposition d’un entrepreneur. La démarche n’est pas interdite fiscalement, même si l’administration a fixé des limites à la déductibilité fiscale de telles dépenses.

    Objet du cadeau

    Pour que la dépense soit déductible du bénéfice de l’entreprise, il est indispensable de disposer des éléments permettant de prouver que la dépense a été réalisée dans l’intérêt commercial de l’entreprise, et de son développement.

    Le coût du cadeau ne doit pas être démesuré eu ...

    Voir la réponse
  • La question de l’imposition des résultats à l’impôt sur les sociétés (IS) ou sur le revenu (IR) se pose pour les créateurs d’entreprise qui ont constitué une société ou sont en EIRL. Les autres sont obligatoirement imposés à l’IR.

    Pour être en mesure de faire un choix, il faut analyser le mode d’évaluation du bénéfice d’une part, et les incidences des deux options d’autre part.

    Évaluation du bénéfice de l’entreprise

    Le calcul du bénéfice diffère selon que la société ou l’EIRL est imposée à l’IS ou à l’IR. Le traitement de la rémunération du gérant ou de l’exploitant diffère également.

    Tout d’abord, le bénéfice ...

    Voir la réponse
  • Dans plusieurs activités, la TVA payée aux fournisseurs à l’achat des produits ou des services peut être à un taux différent de la TVA mentionnée sur les factures envoyées aux clients.

    Par exemple, une structure vend des biens aux États-Unis, donc sans TVA. Lors de l’achat à un fournisseur français, la TVA a été décaissée au taux normal.

    Ou encore, si les ventes sont libellées avec une TVA plus faible et que les achats ont supporté une TVA au taux normal, il y a décalage de TVA. C’est le cas notamment des entreprises effectuant des travaux d’aménagement dans les résidences principales des ...

    Voir la réponse
  • Lors de l’assemblée générale annuelle qui, entre autres décisions, approuve les comptes, les associés ou actionnaires peuvent décider de se partager des dividendes. Toutefois, il n’y a aucune obligation à cela.

    Si l’assemblée générale décide de ne pas se verser de dividendes, elle prend de toute façon une décision sur la destination du résultat : en cas de non-distribution, le résultat de l’exercice est « reporté à nouveau ». Ce vocable comptable signifie que la décision de se verser des dividendes est reportée au nouvel exercice.

    Au cours d’une année, les associés peuvent percevoir des dividendes relatifs au résultat de l’année ...

    Voir la réponse
  • Quand le bénéfice fiscal est déterminé, pour évaluer l’impôt sur les sociétés (IS) à payer il faut tenir compte des taux d’impôt suivants (applicables pour des PME : moins de 7,6 millions d’euros de chiffre d’affaires…) :

    pour la partie du bénéfice jusqu’à 38 120 € : 15 % ;au delà de 38 120 € : 28 % ;

    Seules les PME ayant intégralement libéré leur capital à la fin de l’année ont droit à ces deux tranches. Les autres appliquent le taux normal sur la totalité de leur bénéfice.

    En matière d’IS, l’administration procède de la même manière que pour les tiers ...

    Voir la réponse
  • La base de calcul de l’impôt sur les sociétés (IS) est le bénéfice fiscal. L’impôt sur les sociétés est dû par les sociétés commerciales (SAS, SARL et SARL à unique associé ayant opté pour cette imposition), et par les EIRL ayant pris le choix de cet impôt. Pour parvenir au bénéfice fiscal, il faut tout d’abord évaluer le bénéfice comptable.

    Qu’est-ce que le bénéfice comptable d’une activité soumise à l’IS ?

    Le bénéfice comptable correspond à la différence entre les produits et les charges. Dans une société, on ne retient pas uniquement les produits encaissés et les dépenses payées ; il ne ...

    Voir la réponse
  • Si une entreprise se constitue sans création de société, il s’agit d’une activité en « nom propre » : une entreprise individuelle. Le créateur peut choisir d’être un entrepreneur individuel particulier : le micro-entrepreneur.

    Un entrepreneur individuel qui n’a pas choisi le statut de micro- entrepreneur peut opter pour le régime micro-entreprise.

    Cela signifie que, s’il prévoit une activité en dessous de certains seuils, il n’aura pas à se préoccuper de comptabilité ou de déclaration de TVA. Un entrepreneur individuel dispose d’un numéro SIRET. Les seuils de chiffre d’affaires sont de 85 800 € pour les livraisons de biens et de 34 ...

    Voir la réponse
  • La taxe professionnelle a été remplacée par la contribution économique territoriale (CET). Cet impôt se décompose en deux taxes distinctes : la première (cotisation foncière des entreprises – CFE) affecte toutes les structures juridiques, la seconde (cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises – CVAE) seulement celles d’une certaine taille.

    Cotisation foncière des entreprises

    La taxe professionnelle avait également deux composantes, la première basée sur la valeur locative du siège social de l’entreprise. Les règles régissant la CFE sont très voisines de celles de l’ancienne taxe professionnelle.

    La base de la CFE est la valeur locative des biens utilisés par l’entreprise passibles d’une ...

    Voir la réponse
  • La déclaration et le paiement de la TVA diffèrent selon que l’activité correspond à des livraisons de biens ou des prestations de services. La prise en compte de cette information est importante au moment de l’établissement du business plan, car la TVA peut avoir une incidence sur le niveau de trésorerie.

    Livraisons de biens

    Il s’agit de ventes qui se traduisent par le mouvement géographique d’un bien d’un endroit à un autre. L’article 256-II du Code général des impôts précise la définition fiscale de la livraison d’un bien comme étant « le transfert du pouvoir de disposer d’un bien meuble corporel comme ...

    Voir la réponse
  • Au moment de l’immatriculation, si le créateur n’a pas une vision très claire du chiffre d’affaires qu’il va générer sur son premier exercice, il a le choix entre les deux régimes de TVA : simplifié et réel normal.

    Les différences résident uniquement dans les procédures de déclaration et dans le calendrier.

    Choisir le régime réel normal…

    Choisir le régime réel normal est plus contraignant en termes de suivi comptable et fiscal, dans la mesure où le calcul doit être effectué à partir des données comptables réelles. Cette option suppose que la comptabilité soit saisie dans un logiciel et à jour à chaque ...

    Voir la réponse
  • La taxe sur la valeur ajoutée (TVA) est une des ressources les plus significatives du budget de l’État. Presque tous les professionnels y sont assujettis, et donc deviennent, dès leur immatriculation,des collecteurs d’impôt pour le compte de Bercy.

    Quelques activités ne sont pas concernées par la TVA : activité financière pure, civile ou médicale par exemple. Certains contribuables, du fait du montant assez faible de leur chiffre d’affaires, ont la possibilité de ne pas se préoccuper de cette taxe : ce sont les micro-entrepreneurs (sous réserve de rester sous le premier seuil !) et les entrepreneurs individuels ayant choisi le régime ...

    Voir la réponse
  • À ce jour, les entrepreneurs ne cotisent pas à Pôle emploi et ne peuvent donc prétendre à une indemnisation de la part de l’État en cas d’arrêt de leur activité (liquidation de leur société par exemple) ou de réduction de leur rémunération.

    Ainsi, dans le rôle même de chef d’entreprise est inclus le fait de se protéger contre ces risques d’une part et apprendre à vivre sereinement sur ce sujet d‘autre part. L’entrepreneur aura donc à coeur de devenir son propre assureur, c’est-à-dire trouver les moyens de se couvrir en cas de perte de revenus.

    Quels moyens utiliser ?

    Il est possible d’adhérer ...

    Voir la réponse
  • Dans les grandes entreprises, il est courant de mettre en place des plans d’épargne salariale. Il s’agit d’épargne capitalisée, non immédiatement disponible, au sein de laquelle l’employeur participe en complétant les versements volontaires des salariés (abondement).

    Plans anciennement acquis

    Même après le départ de l’entreprise, il est possible de laisser vivre ces plans ou de les retirer, soit aux dates d’échéances prévues, soit par anticipation, sous réserve de respecter les conditions. La création d’entreprise est une des situations de déblocage anticipé d’un plan d’épargne entreprise.

    Et pourquoi pas dans l’entreprise nouvelle ?

    Le principe de l’épargne salariale est de faire bénéficier les salariés, mais ...

    Voir la réponse
  • Tout créateur d’entreprise sous le statut de gérant majoritaire de SARL devient assujetti à la Sécurité sociale des indépendants et dès le premier trimestre, il est redevable de charges sociales… même en l’absence de rémunération.

    En phase de lancement de son activité professionnelle, il est courant de ne pas percevoir immédiatement de rémunération. Soit l’entrepreneur décide de ne pas alourdir la trésorerie naissante de son entreprise, soit, étant accompagné par Pôle emploi et percevant l’allocation de retour à l’emploi, il décide de laisser la trésorerie dans sa structure afin de lui donner un maximum de chances.

    Or, il est notable que le ...

    Voir la réponse
  • Pendant le temps d’accompagnement de l’entrepreneur par le Pôle emploi, ce dernier peut percevoir l’allocation de retour à l’emploi (ARE) pendant la durée totale de ses droits. Cette aide est réduite si l’entrepreneur perçoit une rémunération de sa société.

    En effet, dès l’instant où la société, par le biais de son assemblée générale (statuant à 50 % plus une voix, sauf dispositions différentes des statuts), l’a décidé, le gérant de SARL ou le président de SAS peut percevoir une rémunération.

    Que se passe-t-il en cas de cumul de l’allocation de retour à l’emploi et d’une rémunération ?

    Incidence de la rémunération sur le ...
    Voir la réponse
  • Le coût social est un élément de décision significatif dans le choix du statut juridique de l’entrepreneur. Toutefois, rappelons que la seule approche du coût supporté par le créateur ne saurait permettre un choix définitif.

    Il convient d’analyser les prestations offertes – et particulièrement en matière de retraite –, la volonté d’optimiser ou non ses modes de rémunération, et surtout l’âge du créateur et la distance qui le sépare de son départ à la retraite.

    Président de SAS ou de SASU

    Un président de SAS est inscrit au régime général de la sécurité sociale, et à ce titre perçoit des rémunérations sous ...

    Voir la réponse
  • Un entrepreneur qui crée son entreprise aujourd’hui ne peut pas cotiser à Pôle emploi dans le cadre de sa rémunération.

    Le seul lien que peut faire un entrepreneur entre son projet de création et le Pôle emploi serait celui de l’allocation de retour à l’emploi qui correspond à des droits acquis dans une situation où le futur créateur était salarié, et donc en lien de subordination avec son employeur.

    Tout d’abord, pour être salarié, au sens « assurable par Pôle emploi », il ne faut pas être gérant ou président de sa structure. En effet, la loi prévoit que les ...

    Voir la réponse
  • Disposer de son entreprise met le créateur en capacité de choisir à la fois les modalités de sa rémunération et l’environnement social qui lui convient, dès l’instant, bien sûr, où son activité lui permet de générer des revenus.

    Pour organiser sa rémunération, il n’est pas nécessaire de percevoir des sommes importantes. Par optimisation, il est retenu ici l’idée de mettre en adéquation ses revenus et la protection sociale de sa famille avec ses besoins présents et futurs.

    Trois sujets sont à traiter :

    Dividendes ou rémunération ?Organisation sociale de l’entrepreneur.Actions sur le patrimoine. Dividendes ou rémunération ?

    L’administration a toujours considéré les dividendes comme ...

    Voir la réponse
  • Les dividendes constituent une rémunération et à ce titre sont assujettis aux prélèvements sociaux et à l’impôt sur le revenu. Une modification importante est intervenue début 2018, avec la mise en place du prélèvement forfaitaire unique (PFU), appelé également flat tax.

    S’agissant de revenus personnels, la situation est différente pour les associés-gérants majoritaires de SARL ou d’EURL et les actionnaires de SAS ou de SASU.

    Actionnaires de SAS ou de SASU

    Un actionnaire, qu’il soit majoritaire ou non, président ou directeur général ou non, supportera 30 % de prélèvements sociaux et fiscaux. Ainsi, une assemblée générale ordinaire d’une SASU décide de distribuer ...

    Voir la réponse
  • La nature de la rémunération d’un président de SAS (ou de SASU) et d’un gérant de SARL (ou d’EURL) étant différente, il convient d’étudier le formalisme et l’organisation de chacune des rémunérations.

    Rémunération d’un gérant majoritaire de SARL (ou d’EURL)

    Il n’y a pas de bulletin de salaire à établir ou de formalisme « papier » à respecter. Le terme de « salaire » cède la place à celui de « rémunération ».

    L’assemblée générale de la société décide d’une enveloppe de rémunération destinée au gérant. Celui-ci peut donc se rémunérer en une ou plusieurs fois, à la fréquence et selon le mode ...

    Voir la réponse
  • Le règlement général pour la protection des données (RGPD) est en vigueur depuis mai 2018. Il s’agit de l’application française de décisions européennes visant à protéger les personnes physiques et à leur fournir des éléments contrôlables quant à l’usage qui peut être fait des informations les concernant.

    En ce sens, il s’impose à toute entreprise, dès l’instant où celleci travaille, prospecte, recherche des clients personnes physiques.

    Le fait de disposer d’un fichier de prospection pour envoyer une newsletter est caractéristique de la détention d’une donnée personnelle et constitue un traitement de données au sens de la loi.

    Donc, toute entreprise est très ...

    Voir la réponse
  • La question peut surprendre dans la mesure où il serait étonnant que la loi interdise de fournir du travail à un professionnel ou un étudiant !

    En revanche, la loi et la jurisprudence ont fixé des limites, au vu de situations qui ont été jugées abusives.

    Faire travailler un micro-entrepreneur

    En phase de démarrage de son activité professionnelle, ou en fonction de son organisation, il est fréquent d’avoir recours à des prestataires extérieurs, parfois de manière régulière.

    Dans ce cas, la personne sous le statut micro-entrepreneur est liée par un contrat de prestation de services (le plus souvent) et émet des factures à ...

    Voir la réponse
  • Le suivi des notes de frais constitue souvent une tâche fastidieuse et relativement ingrate, avec le risque de ne pas avoir intégré toutes les dépenses réellement supportées.

    Pour faciliter le traitement comptable (à confier à un cabinet d’expertise comptable ou à gérer par l’entrepreneur), il peut être utile de distinguer quatre types de frais et de dépenses.

    Les dépenses antérieures à la création de l’entreprise

    Ces frais ont été engagés avant l’immatriculation de la société ou de l’entreprise individuelle, et ont la particularité d’avoir été réglés sur la trésorerie de l’entrepreneur.

    Il est intéressant de les regrouper au sein d’un même tableau sous ...

    Voir la réponse
  • Une fois la société ou l’activité individuelle immatriculée auprès du registre du commerce, il est nécessaire d’apprécier les éventuelles assurances à prendre pour faire face aux risques qui pourraient découler de l’exercice de l’activité professionnelle.

    Il ne s’agit pas ici d’évoquer les risques induits par le fait d’être gérant, président ou encore entrepreneur individuel et les moyens destinés à les limiter : se reporter à la question 100 (décès, invalidité, incapacité), ou 44 sur la nature de la responsabilité.

    Deux principaux types de risques peuvent faire l’objet d’une assurance : ceux liés au lieu d’exercice de l’activité et ceux dépendant de la ...

    Voir la réponse
  • Toute entreprise, quel que soit son statut juridique, a le droit d’avoir recours à d’autres entrepreneurs, pour réaliser des tâches ponctuelles ou régulières. Pour cela, le donneur d’ordre et son sous-traitant signent un contrat précisant les modalités pratiques et financières de réalisation de la mission.

    Dans ce cadre, l’entreprise, cliente de son sous-traitant, doit vérifier le sérieux juridique, fiscal et social de son sous-traitant ! L’enjeu et les risques sont multiples et importants.

    Dans la comptabilité d’une entreprise, une facture de prestations de service envoyée par un sous-traitant peut venir en déduction du résultat fiscal… si la facture est conforme aux règles ...

    Voir la réponse
  • Parmi les actes de gestion d’une entreprise, il en est un qui est déterminant pour son développement, presque autant que de faire croître son chiffre d’affaires : suivre sa trésorerie et l’anticiper.

    Devant les tribunaux de commerce, il est courant de rencontrer des dirigeants dont la société est en croissance et qui traduisent à leur manière l’adage souvent utilisé en gestion d’entreprise : « On peut mourir en bonne santé. ».

    Une société qui ne finance pas sa croissance et n’a pas mis en place un suivi de trésorerie fiable et pérenne peut se retrouver dans une situation où la seule manière ...

    Voir la réponse
  • Dans toute activité professionnelle, le dirigeant est amené à engager des dépenses de plus ou moins grandes importances (billet SNCF, taxi, restaurant, etc.), pour lesquelles il peut sembler plus simple d’utiliser une carte bleue professionnelle. Simplifions la vie quotidienne des créateurs, tout en limitant les traitements comptables !

    Rappelons que chaque opération économique de l’entreprise – y compris l’achat d’un ticket de métro à 1,20 € – donne naissance à une écriture comptable mentionnant la TVA (quand elle est remboursable) à se faire rembourser auprès des services fiscaux.

    Pour l’ensemble de ces frais, il est conseillé de procéder de l’une des ...

    Voir la réponse
  • À l’exception des micro-entrepreneurs et des entrepreneurs individuels ayant opté pour le régime fiscal de la micro-entreprise, les autres structures juridiques ont l’obligation de produire des déclarations fiscales provenant de leur comptabilité.

    Il leur faut donc prendre connaissance des rudiments de suivi de gestion comptable afin, soit de se charger de leur propre comptabilité, soit de la confier à un expert-comptable tout en étant en situation d’analyser leurs propres comptes.

    Préparation de la comptabilité

    Cette étape est nécessaire, que la comptabilité soit totalement externalisée ou en partie traitée en interne.

    Il s’agit de s’assurer de l’exhaustivité des pièces comptables à enregistrer ...

    Voir la réponse
  • Pour chaque vente d’un bien ou d’un service, il existe plusieurs dates : celles de la commande du client, de la réalisation de la prestation – ou de la livraison s’il s’agit d’un bien –, de la facturation et du paiement – en une ou plusieurs fois.

    La date à retenir pour intégrer ou non l’opération de vente dans le chiffre d’affaires de l’entreprise dépend de la forme juridique adoptée : profession libérale ou autre.

    Profession libérale

    Pour les professions libérales (facturation de conseils, de temps et de « matière grise ») qui ne sont pas exercées sous forme de société commerciale ...

    Voir la réponse
  • Avant de faire un feu de joie avec l’ensemble des pièces administratives et comptables, il convient d’analyser pourquoi et pour qui conserver ces documents.

    Pièces comptables et fiscales

    Pour toute activité professionnelle, le contribuable peut faire l’objet de questions de la part des administrations fiscales et sociales. En cas de contrôle, il doit être en mesure de fournir les pièces comptables de l’année en cours, ainsi que celles des trois derniers exercices.

    Par pièces comptables, il est fait référence à tout ce qui peut justifier une opération affectant le résultat fiscal :

    factures émises vers les clients factures reçues des fournisseurs notes de frais ...
    Voir la réponse
  • La question des frais déductibles du bénéfice d’une société est très couramment posée lors de la rédaction du business plan. L’idée consiste parfois à essayer de déduire un maximum de frais afin de réduire le poids de l’impôt sur les sociétés.

    Considérer une dépense comme une dépense professionnelle a deux conséquences intéressantes du point de vue fiscal : d’une part, elle constitue une charge qui viendra minorer le résultat ; d’autre part, la TVA est récupérable.

    Quels types de dépenses ?

    La réponse est aisée : toute dépense qui a été engagée pour atteindre l’objet de la société, la développer et permettre de ...

    Voir la réponse
  • Un peu de gestion financière…

    Le fonds de roulement est une notion de gestion financière qui se définit comme l’excédent de ressources sur les emplois de trésorerie à long terme. Lorsqu’une société se constitue, les associés déposent le capital et éventuellement procèdent à des avances en compte courant pour une longue durée. Dans le même temps, la société doit investir pour acquérir les éléments durables nécessaires au lancement de l’activité (matériel informatique, droit de franchise, droit de bail, aménagement des locaux, etc.).

    Si les ressources (capital, comptes courants à long terme) sont supérieures aux emplois (investissements), la société dégage un fonds ...

    Voir la réponse
  • La question est essentiellement fiscale et concerne l’impôt sur les bénéfices, la TVA et un impôt spécifiquement dédié aux véhicules non utilitaires : la TVS (taxe sur les véhicules de sociétés).

    La position de l’administration fiscale a toujours été restrictive en matière de déduction de charges et de dépenses liées à l’acquisition, à l’utilisation et à l’entretien d’un véhicule non utilitaire.

    Fiscalité sur les véhicules utilitaires ?

    Selon l’administration fiscale, un véhicule utilitaire ne sert pas aux transports de personnes, à quelques (rares) exceptions près.

    De plus, dans les textes administratifs, il est prévu que la catégorie fixée par les services d’immatriculation soit un ...

    Voir la réponse
  • Toute société commerciale a l’obligation de respecter deux exigences : la tenue d’une comptabilité vérifiable et le suivi de la vie juridique de la société.

    Tenue d’une comptabilité vérifiable

    La comptabilité sert de base au calcul et à la perception des taxes fiscales et sociales, mais constitue également l’outil de gestion de l’entreprise par excellence. Il s’agit de suivre exhaustivement les opérations économiques affectant le patrimoine de l’entreprise : suivi des ventes, des achats, des sommes encaissées en provenance des clients, payées aux fournisseurs, à l’État, de la rémunération du gérant, du paiement de ses charges sociales…

    Toute opération, même mineure, doit ...

    Voir la réponse
  • Dans une vie d’entrepreneur, il peut arriver que l’activité de la société s’arrête de manière temporaire. La question se pose de liquider la société, quitte à en ouvrir une autre lorsque le chiffre d’affaires sera à nouveau présent.

    Dissoudre une société commerciale est onéreux

    Les formalités juridiques sont particulières. Il convient de produire deux assemblées générales : une pour la dissolution et une pour la clôture des opérations de liquidation.

    L’assemblée de dissolution doit être enregistrée auprès de l’administration fiscale, générant un coût de 375 €. De plus, il faut acquitter le coût des services du greffe du tribunal de commerce (environ 200 ...

    Voir la réponse
  • Au cours des premiers temps de la vie d’une entreprise, il est probable qu’elle dégage des pertes, notamment du fait du poids dans les résultats des dépenses de démarrage, des frais commerciaux (entre autres charges) dont les effets en termes de chiffre d’affaires ne sont pas toujours immédiats.

    Ainsi, à l’issue du premier exercice, la société peut dégager une perte, qui dans certains cas représente une somme importante comparée au capital social. Par exemple, à la fin de la première année, une société immatriculée avec un capital de 3 000 € constate une perte nette de 4 000 €.

    Quelles sont les ...
    Voir la réponse
  • Une société commerciale peut conclure des contrats avec un de ses associés ou son gérant (ou président, pour une SAS). Trois types de conventions sont à analyser : les conventions interdites ; les conventions courantes à des conditions normales ; les conventions réglementées.

    Conventions interdites

    Certains de ces contrats, ou conventions, sont interdits dès l’instant où il s’agit d’une société commerciale de type SARL ou SAS (à associé unique ou pluriel) : se faire prêter de l’argent par sa structure ou se faire cautionner. Ce qui est vrai pour un gérant ou un associé l’est aussi pour ses enfants et parents.

    Conventions courantes ...
    Voir la réponse
  • Une société commerciale est contrainte de respecter des obligations juridiques annuelles, notamment la tenue d’une assemblée générale ordinaire. Au cours de cette assemblée, le gérant – ou le président, pour une SAS – de la société produit un rapport présentant aux associés présents les informations significatives relatives à la gestion de l’année écoulée.

    À la lecture de ce rapport, et au vu des comptes présentés, les associés disposent des informations nécessaires pour prendre une décision d’approbation des comptes.

    Le rapport de gestion peut sembler assez formel pour les sociétés dont l’actionnariat est fermé. Toutefois, il doit comporter des mentions obligatoires, notamment ...

    Voir la réponse
  • Si la société a besoin de liquidités complémentaires, les associés peuvent lui prêter l’argent nécessaire. Il suffit de remettre un chèque ou de faire un virement sur le compte bancaire professionnel, en provenance du compte bancaire personnel de chaque associé.

    Cette opération financière correspond à « verser de l’argent en compte courant d’associé ». Quand il y a pluralité d’associés, il est préférable que chaque intervenant au capital de la structure fasse apport correspondant à sa quote-part de détention dans le capital, dans un souci d’équité. Un associé possédant 60 % du capital pourra ainsi prêter à la société 60 % ...

    Voir la réponse
  • La question peut se poser d’acquérir un bien immobilier, utilisé à des fins professionnelles. Pour une activité nécessitant des bureaux ou un magasin, par exemple, peut-être est-il plus intéressant pour l’entrepreneur de disposer de ses propres locaux et d’investir.

    Pourquoi investir ?

    C’est le même raisonnement qui pousse une famille à choisir de rembourser un emprunt plutôt que de payer un loyer à son propriétaire. À ce raisonnement s’ajoute la possibilité de rendre déductible de deux bases fiscales différentes, d’une part le loyer et d’autre part les intérêts de l’emprunt.

    En effet, dans la société d’exploitation, le bénéfice est réduit en raison ...

    Voir la réponse
  • Une société commerciale est représentée par des titres, appelés « parts sociales » dans une SARL ou « actions » dans une SAS. À la constitution ou au moment où l’entrepreneur est devenu associé ou actionnaire, il s’est produit un échange financier et patrimonial.

    L’associé ou l’actionnaire a échangé de l’argent contre des parts sociales ou des actions. Ainsi, les titres détenus par l’entrepreneur constituent un élément de son patrimoine.

    En cas de décès d’un actionnaire, les titres détenus font partie de l’actif à transmettre, donc à répartir entre les ayants droit (conjoint et enfants le plus souvent).

    Si la société ...

    Voir la réponse
  • Dans un article précédent : « Que se passe-t-il si ma société dépose le bilan ?« , il était question d’une frontière entre le patrimoine privé et l’activité professionnelle dès l’instant où celle-ci est exercée sous forme d’une société commerciale (SARL ou SAS).

    Si l’activité professionnelle est exercée en nom propre, la situation est très différente. En effet, aucune frontière « étanche » n’existe entre les biens personnels et l’entreprise.

    Ainsi, dans l’hypothèse où une activité professionnelle a généré des dettes qu’il devient difficile de rembourser, en cas de dépôt de bilan (liquidation judiciaire), il existe peu d’obstacles ...

    Voir la réponse
  • Le parcours de la création d’entreprise peut-être bien souvent semé d’embûches. Certaines difficultés peuvent être plus importantes quand on est une femme. C’est la raison pour laquelle un certain nombre d’aides ont été mises en place afin de permettre au plus grand nombre de femmes d’accéder à l’entrepreneuriat.

    L’idée étant de permettre aux femmes de concilier vie privée et vie professionnelle et bien souvent afin de faciliter leur entrée sur certains marchés majoritairement masculins. L’objectif de manière générale est de renforcer la parité hommes femmes.

    Nous avons identifié deux grandes catégories d’aides :

    Les aides publiques qui sont délivrées par l’Etat ou les ...
    Voir la réponse
  • La cotisation foncière des entreprises est une contribution locale qui existe depuis 2010.

    La cotisation foncière des entreprises (CFE) et la cotisation sur la valeur ajoutée (CVAE) composent la contribution économique territoriale (CET) qui remplace la taxe professionnelle.

    Elle est basée uniquement sur la valeur locative des  biens immobiliers assujettis à la taxe foncière et utilisés pour l’activité professionnelle. La CFE est à déclarer et à régler dans la commune où la société dispose de locaux. Le barème de cette taxe est directement fixé par la commune.

    Les entreprises, les particuliers, les autoentrepreneurs, les associations, les fondations  qui exercent habituellement une activité professionnelle régulière qu’elles ...

    Voir la réponse
  • La reprise d’entreprise n’est pas uniquement une question de chiffres et de méthodes d’évaluations.

    La plupart des sociétés commerciales, que ce soit des Sociétés par Actions Simplifiées (SAS ou SASU) ou des Sociétés à Responsabilité Limitée (SARL ou EURL) clôturent leurs comptes au 31 décembre de chaque année.

    Les entrepreneurs se demandent très souvent, comment à la fois anticiper cette clôture et essayer de réduire ou d’optimiser les impôts et les charges sociales, tout en présentant des comptes qui permettent d’être reconnus

    Etant expert-comptable, nous sommes en mesure de vous conseiller et allons vous dévoiler des points à traiter afin de gérer au mieux la clôture des comptes. Parmi eux, il y a des décisions à ...

    Voir la réponse
  • La crise économique a incité le Gouvernement à proposer des aides pour faciliter l’embauche, notamment de jeunes en alternance, qui font partie des victimes indirectes du Covid.

    Pour certaines PME ou TPE, ces aides pourraient les aider à se développer ! Voici quelques données chiffrées.

    Aides pour les apprentis et les contrats de professionnalisation

    L’aide au recrutement des apprentis et des contrats de professionnalisation est une des mesures phare du plan #1jeune1solution du gouvernement.

    Les apprentis, mais également les contrats de professionnalisation sont concernés. Les Masters, un temps exclus du dispositif, ont été intégrés ! Ce peut être l’occasion, à moindre coût (voir plus bas) de ...

    Voir la réponse
  • Le Plan de Sauvegarde de l’Emploi (PSE), anciennement appelé Plan Social, a été créé pour éviter et réduire au maximum les licenciements pour cause économique au sein des entreprises, en proposant aux futurs ex-salariés des solutions concrètes.

    Dans quel cas est-il obligatoire ?

    Le PSE est obligatoirement mis en place :– dans les entreprises d’au moins 50 salariés– quand minimum 10 salariés sont concernés par les mesures de licenciement économique– lorsque ces mesures se déroulent sur une période de 30 jours consécutifs

    Quelles mesures prévoit le PSE ?

    Mise en place d’un plan de reclassement interne en France :Permettre à l’employé de retrouver un poste équivalent ou de ...
    Voir la réponse
  • « Si un projet tient la route et qu’il est bien ficelé en amont, il tiendra toujours la route peu importe la période de création »

    2020 est l’année du changement en tout point. La crise du COVID-19 n’a pas été tendre avec les entrepreneurs. Pourtant les chiffres sont tombés, et vous n’allez pas y croire. Cette période tumultueuse n’a pas empêché les entrepreneurs de se lancer.  Pour sûr, il y a eu davantage de création d’entreprise aux deux premiers trimestres de 2020 qu’à la même période en 2019.

    Statistique sur le nombre de créations d’entreprises (y compris micro-entrepreneurs) en milliers :

    Source : https://www.insee.fr/fr/statistiques/2015204#tableau-figure1

    Les entrepreneurs ne ...

    Voir la réponse
  • Depuis, le 20 juillet 2020, vous avez la possibilité d’obtenir une aide pouvant aller jusqu’à 1500€ au titre des pertes du mois de juin par le fonds de solidarité.

    Le formulaire des impôts vient enfin d’être déposé et adapté et vous pouvez effectuer votre demande depuis le 20 juillet et ce jusqu’au 31 août 2020.Il vous suffit de vous connecter sur votre espace personnel du site .

    Vous pourrez même effectuer la demande pour les mois d’avril et de mai, si vous n’avez pas eu le temps de le faire mais jusqu’au 31 juillet 2020 seulement.

    Ce qui va changer à partir du ...
    Voir la réponse
  • Nous quittons le confinement et l’arrêt imposé d’une partie de l’activité économique de nos sociétés dites développées et tournées vers le progrès. Nous allons donc pouvoir reprendre nos activités d’avant: combien d’économistes nous prédisent un retour à la « normale » !

    Mais le faut-il ou précisément, doit-on absolument retourner à « la normale » ? Ne serait-ce pas plutôt un retour à « l’anormal » ?

    Quel bilan tirer de ce confinement ? Effets positifs…

    Nous nous sommes rendu compte à cette occasion que la planète vivait mieux.

    Par endroits la pollution était fortement réduite et les êtres humains ont débordé d’ingéniosité pour garder le contact avec leurs contemporains, le reprendre ou même l’amplifier.

    Le confinement a même créé du ...

    Voir la réponse
  • La crise sanitaire du COVID a frappé de plein fouet l’activité économique des entreprises.

    Et pourtant, les chefs d’entreprise de TPE/PME seraient plutôt optimistes d’après un récent sondage réalisé fin avril auprès de plus de 600 patrons par BPI-France, Le Lab et Rexecode. Ils pensent qu’ils pourront reprendre une activité normale.

    La crise économique, conséquence de la crise sanitaire

    La crise sanitaire que nous rencontrons a frappé de plein fouet les entreprises en entrainant une crise économique importante.

    Cette enquête laisse apparaitre que les différentes aides mises en place par l’Etat (chômage partiel, prêts garantis par l’État, report voire annulation de charges) ont influé sur le moral  ...

    Voir la réponse
  • Nous mettons à disposition de tout micro entrepreneur (ou futur micro-entrepreneur) des fichiers lui permettant de monter son prévisionnel sur les trois prochaines années.

    Est téléchargeable gratuitement un fichier excel par nature d’activité.

    Le manuel d’utilisation des fichiers est présenté dans cette page.

    Un business plan pour un micro-entrepreneur ? Pourquoi faire ??

    Quand on pense micro-entreprise, on se dit qu’il n’y a rien à gérer : suivre uniquement sa facturation.

    Le micro-entrepreneur est un entrepreneur à part entière.

    Il doit gérer ses résultats et s’assurer que son projet est viable.

    Un objectif : vivre de son activité

    Le premier objectif d’un business plan est de permettre à ...

    Voir la réponse
  • La crise économique en cours, et dont les effets devraient se poursuivre pendant une durée potentiellement importante, peut nous inciter, entrepreneurs, à adopter une attitude où nous nous recroquevillons sur nos entreprises et nos acquis.

    Nous serions même tentés d’utiliser l’argument de la crise pour transformer et altérer les relations professionnelles entre partenaires, clients, fournisseurs, etc.

    Quelles sont les entreprises qui traversent cette crise sans grands dommages ?

    Il est indéniable qu’un grand nombre de structures sont dans une situation très délicate, voire risquent de devoir déposer le bilan dans les semaines ou mois qui viennent.

    Intéressons-nous quelques instants, aux entreprises qui traversent cette crise, sans grands dommages. Il en existe ...

    Voir la réponse
  • Toute personne qui quitte un emploi où il détenait un Plan d’Epargne Entreprise peut réduire ses impôts tout en ne modifiant pas le volume de son épargne, et bien sûr, en toute légalité !

    Qu’est-ce qu’un PEE (Plan d’Epargne Entreprise)

    Il s’agit d’un dispositif permettant de placer de l’épargne personnelle, et dans la plupart des cas assorti d’un abondement de son employeur. Sur cet abondement, les charges sont faibles pour le salarié… mais existent tout de même : la CSG !

    Les sommes à placer sur un PEE peuvent provenir d’un intéressement ou non.

    Elles sont placées pour cinq ans (contrepartie à l’absence d’impôt sur ...

    Voir la réponse
  • Une des différences, importante (mais pas fondamentale) entre une Société par Actions Simplifiée (SAS) et une Société A Responsabilité Limitée, réside dans la manière dont les dividendes sont soumis aux prélèvements.

    De manière un peu (trop) rapide, nous avons tendance à considérer que les dividendes de SARL génèrent beaucoup trop de prélèvements, comparés à ceux payés par une SAS.

    Revenons sur les vraies différences !

    Rappel sur l’origine des dividendes

    Tout d’abord, ce que nous exposons dans cet article à propos du fonctionnement des SAS concerne également les SASU (Société par Actions Simplifiées Unipersonnelles), de même pour les SARL et les EURL.

    A la fin d’une année fiscale (par exemple, ...

    Voir la réponse
  • Retrouvez les questions les plus fréquemment posées par les entrepreneurs pendant cette période de confinement liée au coronavirus.

    Président de SAS ou SASU, puis stopper ma rémunération ?

    Pendant la période de confinement, un entrepreneur, Président d’une SAS ou d’une SASU peut prendre la décision de ne plus percevoir de rémunération, afin d’éviter des décaissements alors que le chiffre d’affaires est fortement réduit, voire à l’arrêt.

    C’est une décision entrepreneuriale au sens plein du terme : le dirigeant prend une décision destinée à sauvegarder son entreprise !

    SAS et SASU

    Dans toute société commerciale, notamment les SAS ou les SASU, c’est l’assemblée générale des actionnaires qui décide ...

    Voir la réponse
  • Le délai de carence correspond au temps précédant la période d’indemnisation du chômage, donc avant la perception de l’Allocation de Retour à l’Emploi (ARE).

    Cette période peut durer plusieurs mois… et n’est pas plafonnée, contrairement à l’idée reçue.  La question se pose souvent pour des demandeurs d’emploi, créateurs d’entreprises, qui reçoivent dans le cadre d’un Plan de Sauvegarde de l’Emploi (PSE), une indemnité.

    Rappel sur les composantes du délai de carence

    En préambule, rappelons que les calculs de durée effectués par Pôle Emploi sont toujours appréciés en jours calendaires, et non en jours ouvrés ou ouvrables, comme nous en avons l’habitude.

    Par ailleurs le ...

    Voir la réponse
  • Les indépendants (en BNC ou gérants d’EURL ou SARL) ont droit à trois aides, qui peuvent se cumuler :

    aide de 1500 €complément de 2.000 €prise en charge d’une partie de leurs cotisations sociales Aide de 1500 € au titre des mois de mars et d’avril Qui peut bénéficier de ce fonds de solidarité ?

    Sont concernées les personnes physiques et les personnes morales exerçant une activité économique en France, principalement, les très petites entreprises TPE, indépendants, micro-entrepreneurs et professions libérales ayant fait l’objet d’une interdiction administrative d’accueil du public pour la période allant du 1/3/2020 au 31/3/2020 ou celles ayant subi une perte de chiffre d’affaires ...

    Voir la réponse
  • La communication du Gouvernement sur ce sujet est très large et il semble que le fait de respecter les critères d’éligibilité soit suffisant.

    L’emprunt garanti par l’Etat va-t-il être donné à toutes les entreprises ? Est-il si intéressant que cela ?

    Il n’est pas forcément fait mention d’une situation délicate du fait de la période de confinement et des fermetures administratives qui en découlent.

    Donc, à priori, toute entreprise entrant dans les critères peut prétendre à un emprunt auprès de son établissement bancaire habituel.

    Quelles sont les particularités de cet emprunt ? Coût du crédit

    Le coût est, à priori, bas.

    Les banques ont toute ...

    Voir la réponse
  • Face à la crise sanitaire qui engendre une crise économique majeure, le Gouvernement a mis en place toute une série de mesures destinées à accompagner et à aider les entreprises et les entrepreneurs les plus impactées par la situation.

    Il s’agit notamment d’essayer de limiter les effets économiques se traduisant par une perte de Chiffre d’Affaires et donc de revenus pour un grand nombre d’entrepreneurs.

    Des mesures pour les entreprises

    A ce jour, l’Etat a pris une dizaine de mesures spécifiques d’accompagnement.

    Plutôt que de plagier ce document, assez clair, nous avons choisi de présenter les mesures d’aides en fonction des situations spécifiques ...

    Voir la réponse
  • En tant que président de SAS je suis travailleur non salarié, je n’ai donc pas le droit au chômage partiel. Quelles sont mes autres solutions ?

    Bénéficier du fonds de solidarité.

    La somme de 1500€ sera versé aux indépendants qui le souhaite pour le mois de mars.

    Je peux bénéficier de ce fonds  si mon entreprise a au minimum 1 an,  qu’elle est en difficulté à cause d’une crise sanitaire ou que son chiffre d’affaires à diminué de plus de 70% entre mars 2019 et mars 2020 et que ce CA ne dépasse pas le million d’euros. (Précisions en attente).

    Ce fonds de solidarité concernerait ...

    Voir la réponse
  • Vous avez un projet de création d’entreprise et vous êtes découragés à l’idée que ce soit remis à plus tard. Vous ne savez pas comment faire ? Vous êtes bloqués chez vous avec plein de questions en tête ?

    Pas de panique, chers entrepreneurs

     

    Laissez nous vous convaincre que tout est possible, sans même sortir de chez vous.

    Prenez ce temps à la maison comme une chance de pouvoir progresser sur votre projet professionnel. Vous pouvez enfin y réfléchir. Sortir de chez soi n’est pas indispensable à la création d’entreprise. Au contraire ! Nous sommes en 2020, tout peut ...

    Voir la réponse
  • Fonds d’urgence :

    Une aide forfaitaire de 1500€ va être mise en place par le gouvernement pour les indépendants et micro-entrepreneurs en difficultés.

    Si votre entreprise ferme pour des raisons sanitaires ou que votre Chiffre d’Affaires, qui ne dépasse pas 1 million d’euros, a diminué de 70% entre mars 2019 et 2020.

    Report des charges :

    Le paiement des charges fiscales et sociales pour les petites entreprises est reporté.

    L’annulation pourra être prononcée en fonction des cas pour les auto-entreprises. Elles pourront également demander le report de leur impot sur le revenu.

    Garantie des prêt bancaires :

    Les prêts bancaires sont garanties par l’Etat à hauteur de ...

    Voir la réponse
  • Avant le 31 décembre 2019, pour toutes les entreprises employant plus de 10 salariés : CSE (Comité Social et Economique) obligatoire !

    Toutes les entreprises qui emploient au moins 11 salariés doivent mettre en place un CSE : Comité Social et Économique,…, avant le 31 décembre 2019.

     

    Qui est concerné ?

    Les entreprises qui emploient depuis 1 an, au moins 11 salariés. Ne rentrent pas dans ce compteur les alternants (contrat d’apprentissage et de professionnalisation) et les dirigeants figurant sur le Kbis de la société, ainsi que les stagiaires. Les salariés travaillant à temps partiel sont intégrés dans le calcul au prorata de leur temps ...

    Voir la réponse
  • Mise à jour : 27 janvier 2021

    La solution pour optimiser ses impôts

    Dans la série « j’ai lu sur internet », qui a remplacé « mon beau-frère m’a dit » il est courant d’entendre des dirigeants de PME ou de TPE expliquer que la solution rêvée et surtout innovante consiste à ne pas prendre de rémunération dans sa SAS (société par Actions Simplifiée) ou SASU (la même, mais détenue par un unique actionnaire) mais uniquement des dividendes: « il y a très peu de charges sociales, c’est génial ! ».

    Qu’en est-il réellement ?

    Première hypothèse

    Faisons quelques calculs (simples !) :

    Résultat avant rémunération : 60.000 € Aucune rémunération de présidence versée. Impôt sur les ...
    Voir la réponse
  • Comment ne pas se tromper lors de l’embauche de son premier salarié ?

    Lorsqu’une entreprise se développe, le chef d’entreprise se retrouve confronté à l’embauche de son premier salarié. Ce processus se décline en deux phases, du recrutement à la signature effective du contrat. Pour chacune de ces phases, il est essentiel de se poser les bonnes questions.

    Le recrutement du 1er salarié

    Le type de contrat

    Avant de lancer une procédure de recrutement, il faut se demander quel type de contrat vous souhaitez mettre en place. Il peut s’agir d’un CDI, d’un CDD, d’un stage ou d’un contrat en alternance.  Chacun de ces ...

    Voir la réponse
  • On parle beaucoup ces temps-ci de la réforme des retraites et de la manière dont seront calculées les pensions à recevoir des organismes de retraite. Actuellement le régime repose sur trois éléments :

    La retraite de base, appréciée en fonction des rémunérations et de la durée de cotisation. Les fameux trimestres prennent tout leur sens ici ! Les points accumulés dans le cadre des cotisations aux régimes de retraite complémentaires, par répartition. La croissance des rémunérations perçues permet d’augmenter le nombre de points acquis et donc de majorer la pension versée. Les régimes facultatifs de retraite par capitalisation. Les sommes versées pendant la ...
    Voir la réponse
  • Vérifiez et optimisez votre bilan de retraite

    Parmi les idées reçues les plus répandues dans le monde entrepreneurial : « Tu n’auras pas de retraite ! ».

    Au-delà de ne reposer sur rien de concret, cette conviction est totalement erronée et surtout l’entrepreneur, par le fait même qu’il gère son entreprise, dispose d’une capacité à organiser et piloter les revenus futurs ! En effet, dès le choix de son statut juridique, le futur entrepreneur, s’il est en capacité de se rémunérer, est dans la position d’orienter ses cotisations vers les mécanismes les plus efficaces. C’est lui qui a le choix ! On peut écrire que c’est ...

    Voir la réponse
  • L’expert-comptable et le commissaire aux comptes sont deux professionnels du chiffre et du droit, intervenant en qualité de partenaires de l’entreprise.

    Quelles sont leurs missions ?

    La loi fixe les conditions de nomination d’un commissaire aux comptes dans toutes les sociétés anonymes (SA), les sociétés par actions simplifiées (SAS) et les SARL d’une certaine taille.

    Le commissaire aux comptes a pour rôle de contrôler le respect des règles légales et fiscales, mais également la correcte application des lois régissant les sociétés commerciales.

    L’expert-comptable est un professionnel inscrit auprès d’un ordre, et que sa profession est régie par une ordonnance et des règles strictes.

    Même s’il s’agit des mêmes professionnels ...

    Voir la réponse
  • Comment créer un site web professionnel

    Les entreprises disposent d’un site web et ont, progressivement, compris l’importance que celui-ci peut avoir pour leur action commerciale. Ce média qui a fêté ces 30ans le mois dernier, évolue très rapidement.

    Par exemple :

    2006 avec l’arrivée des réseaux sociaux (Facebook …) et la démultiplication extrêmement rapide des blogs et autres formes de présence sur internet. 2011 l’explosion des ventes d’appareils nomades (téléphones – tablettes) et l’utilisation de plus en plus forte de ces outils pour naviguer sur le web.

    Nous entrons, aujourd’hui, dans une nouvelle phase de la communication digitale : l’enjeu n’est plus d’avoir un site, mais de faire en sorte ...

    Voir la réponse
  • À la fin de chaque année, si l’activité est exercée sous forme de société, il y a une obligation pour les associés (SARL) ou actionnaires (SAS ou SA) de réunir une Assemblée Générale.

    Qui est concerné ?

    Les associés d’une société commerciale (SARL ou SAS, par exemple) doivent, à la fin de chaque année et dans les 6 mois de la clôture de leurs comptes, établir un procès-verbal de l’Assemblée Générale des associés. Les entreprises individuelles ne sont pas concernées.

    Il arrive parfois que la réunion ne puisse avoir lieu physiquement, mais si tous les associés sont d’accord, il suffit de se faire passer le document pour ...

    Voir la réponse
  • La taxe sur la valeur ajoutée (TVA) est une des ressources les plus significatives du budget de l’État. Presque tous les professionnels y sont assujettis, et deviennent donc, dès leur immatriculation, des collecteurs d’impôt pour le compte de Bercy. Quelques activités ne sont pas concernées par la TVA : activité financière pure, civile, médicale par exemple.

    Certains contribuables, du fait du montant assez faible de leur chiffre d’affaires, ont la possibilité de ne pas se préoccuper de cette taxe : ce sont les auto-entrepreneurs et les entrepreneurs individuels ayant choisi le régime micro-entreprise.

    Fonctionnement de la TVA

    Dès l’instant où votre entreprise est assujettie ...

    Voir la réponse
  • Les premiers mois ou les premières années de l’activité, il est possible de domicilier son activité professionnelle et sa société à son domicile personnel. De manière pratique, il s’agit d’affecter une partie de l’espace géographique du domicile aux documents, ordinateurs, archives de la société.

    Ainsi, il est logique de considérer qu’une partie des frais liés à la résidence principale est imputable à l’activité économique.

    Si l’entrepreneur est locataire, il est possible d’affecter une quote-part de son loyer et plus généralement une partie des frais générés par l’utilisation d’une surface spécifiquement dédiée à l’activité professionnelle. Il peut s’agir de l’abonnement Internet, de l’assurance, des charges locatives, etc.

    Le prorata ...

    Voir la réponse
  • A quels risques sont exposés mon patrimoine et celui de ma famille ?

    Le patrimoine de l’entrepreneur est sauvegardé dans la plupart des statuts juridiques. Qu’il s’agisse de la constitution d’une SARL ou d’une SAS, d’une EIRL, le risque financier est limité à l’investissement que l’entrepreneur a effectué. Ainsi, si une société est constituée avec 2 000 € de capital, qu’elle dépose le bilan et est liquidée, le ou les associés perdent leurs 2 000 €, et tout s’arrête là. Les dettes accumulées par la société sont perdues pour leurs créanciers, et les associés ou actionnaires ne sont pas appelés à payer ces dettes sur ...

    Voir la réponse
  • Le centre de gestion agréé est un organisme indépendant géré par des experts-comptables dont le rôle est surtout de valider la cohérence des déclarations fiscales professionnelles des travailleurs indépendants (activité exercée sous forme d’entreprise individuelle) et des sociétés dont les résultats sont soumis à l’impôt sur le revenu.

    Ces contrôles de cohérence, qu’ils effectuent sur les déclarations professionnelles, permettent à leurs adhérents de ne pas être imposés sur 125 % du bénéfice réalisé. La plupart du temps, ils proposent également de tenir la comptabilité de leurs adhérents.

    Inutile pour ceux qui sont soumis à l’impôt sur les sociétés.

    Les entrepreneurs travaillant sous forme d’une société commerciale soumise à l’impôt sur ...

    Voir la réponse
  • Nous voulons vous faire partager 2 convictions qui devraient structurer l’action des PME dans le domaine commercial

    Une entreprise doit au maximum anticiper la demande de ses prospects. Ceci implique de mettre en place des actions visant à :

    Identifier les prospects et leurs attentes. Mesurer la satisfaction des clients. Tester en permanence de nouvelles offres ou plus simplement de nouvelles manières de présenter les offres existantes.

    Une entreprise doit comprendre qu’avec Internet sa concurrence est désormais mondiale. Rien n’est plus simple en effet pour une PME que de développer un site en Français pour vendre sur notre territoire ses produits. Ceci implique :

    Une analyse de la concurrence qui ne ...
    Voir la réponse
  • L’Accre est une aide proposée aux créateurs d’entreprise pendant les 12 premiers mois de leur nouvelle activité. Elle est accordée sous plusieurs conditions : être le créateur d’une nouvelle entreprise – quel que soit son statut juridique – en exercer le contrôle de manière effective et être inscrit au Pôle Emploi.

    Les bénéficiaires de l’Accre peuvent demander au Pôle Emploi de leur payer les indemnités de retour à l’emploi sous forme de capital (en deux versements, l’un à l’immatriculation, l’autre 6 mois après), correspondant à 50 % des droits totaux.

    Cette aide consiste également en une réduction partielle de certaines charges sociales la première année ...

    Voir la réponse
  • Deux entrepreneurs qui souhaitent lancer et gérer leur projet d’entreprise en commun trouveront naturel de répartir le capital social de la société dans laquelle ils vont investir à égalité, c’est-à-dire 50 % du capital chacun. Il s’agit souvent de considérer qu’en tous points de la gestion de l’entreprise les deux associés doivent être à égalité, pour éviter des désaccords ou frustrations.

    De plus, deux associés disposant chacun de 50 % des droits de vote dans une assemblée générale sont condamnés à être d’accord. C’est précisément là que les difficultés peuvent apparaître : si, au cours d’une assemblée à caractère ordinaire, les deux associés ne sont pas d’accord, ...

    Voir la réponse
  • Chacun sait que sous le régime de l’auto-entrepreneur, il n’est pas possible de déduire des dépenses complémentaires au-delà du forfait de frais établi par la loi. Or, une des préoccupations majeures de tout entrepreneur (quel que soit son statut) est souvent celle de la retraite.

    Pour le présent, deux démarches sont à respecter

    Les cotisations retraites des auto-entrepreneurs ne sont pas très importantes, notamment si le chiffre d’affaires n’est pas très élevé. Il existe un lien étroit entre montant des cotisations et pensions de retraite versées….

    Certains entrepreneurs (aisés) pourraient souhaiter bénéficier des mêmes facilités que leurs confrères qui ont choisi le statut de gérant ...

    Voir la réponse
  • Si le statut fiscal de l’entreprise est celui d’une société commerciale (SARL, EURL, SAS, SASU ou SA, par exemple), le ou les créateurs doivent affecter un capital social, le plus souvent sous forme d’argent, appelé « versement du capital en numéraire ».

    Aucun capital n’est à constituer pour toute immatriculation d’une entreprise individuelle. Toutefois, pour une entreprise individuelle à responsabilité limitée (EIRL), une déclaration d’affectation du patrimoine est nécessaire.

    Compte courant d’associé, substitut du capital ?

    Il est d’usage d’évaluer les besoins de financement de l’entreprise qui se crée en listant les investissements nécessaires, le montant des stocks à acheter, du dépôt de garantie à payer, des frais de ...

    Voir la réponse
  • Atelier de la Maison de l'Entrepreneur

    Pour la plupart des entreprises, notamment la SAS ou la SARL, il n’y a pas de capital minimum obligatoire. Cependant, plusieurs aspects sont à considérer pour définir le montant du capital d’une entreprise.

    Le capital correspond à la somme ou aux biens apportés par les associés lors de la création de leur société – ou en cours de vie de l’entreprise s’ils décident d’augmenter le capital. Il figure sur tous les documents commerciaux (papiers à en-tête, factures, devis, etc.). Que votre entreprise soit une SARL une SAS ou de tout autre forme juridique, il convient de bien définir le montant de votre capital social.

    Le capital : un enjeu de visibilité pour votre entreprise

    Une société ...

    Voir la réponse
  • Quand immatriculer ma société

    Le moment de la création de sa société, en début ou en fin d’année, peut avoir un impact à la fois fiscal et social.

    Date d’immatriculation et aspect fiscal personnel

    La fiscalité peut intervenir à plusieurs niveaux :

    Réduction d’impôt pour création de société

    Si la société est immatriculée en fin d’année N ou en janvier N+1, la réduction d’impôt sur le revenu dont pourrait bénéficier l’associé sera applicable un an plus tard, si la loi est toujours en vigueur.

    Ainsi, on privilégie généralement la constitution en décembre N plutôt qu’en janvier N+1, sauf dispositions particulières personnelles ; et ce d’autant plus que dans certaines situations, le montant de l’impôt ...

    Voir la réponse
  • Si la société a besoin de liquidités complémentaires, les associés peuvent lui prêter l’argent nécessaire. Il suffit de remettre un chèque ou de faire un virement sur le compte bancaire professionnel, en provenance du compte bancaire personnel de chaque associé.

    Cette opération financière correspond à « verser de l’argent en compte courant d’associé« .

    Quand il y a pluralité d’associés, il est préférable que chaque intervenant au capital de la structure fasse un apport correspondant à sa quote-part de détention dans le capital, dans un souci d’équité. Un associé possédant 60 % du capital pourra ainsi prêter à la société 60 % de la somme totale apportée par le pool des associés. La ...

    Voir la réponse
  • Une fois la société ou l’activité individuelle immatriculée auprès du registre du commerce, il est nécessaire d’apprécier les éventuelles assurances à prendre pour faire face aux risques qui pourraient découler de l’exercice de l’activité professionnelle. Il ne s’agit pas ici d’évoquer les risques induits par le fait d’être gérant, président ou encore entrepreneur individuel et les moyens destinés à les limiter (des articles spécifiques seront mis en ligne prochainement sur ces sujets très importants pour l’entrepreneur).

    Deux principaux types de risques peuvent faire l’objet d’une assurance

    Ceux liés au lieu d’exercice de l’activité Ceux dépendant de la nature même de cette activité.

    Nous évoquerons également d’autres risques pouvant ...

    Voir la réponse
  • Il arrive que l’entrepreneur soit déjà en contact avec des clients potentiels, des prospects, avant même la clôture des opérations juridiques d’immatriculation de son entreprise. Plusieurs points sont alors à analyser : frais déductibles, chiffre d’affaires et risques professionnels.

    Vos dépenses sans être immatriculé

    Les dépenses antérieures à la constitution sont déductibles du résultat de l’entreprise, une fois que celle-ci sera inscrite au Registre du Commerce et des Sociétés.

    Votre chiffre d’affaires sans être immatriculé

    Dans la pratique, il est toujours possible de travailler, spécifiquement s’il s’agit de conseil, et si la facturation de chiffre d’affaires est dûment déclarée dans les résultats fiscaux de ...

    Voir la réponse
  • Dois-je avoir un compte en baque pro

    Pour un entrepreneur individuel, il est important de disposer d’un compte bancaire affecté en priorité, sinon exclusivement, aux mouvements financiers liés à l’exercice de son activité. D’une part, cela permet d’isoler les mouvements concernés ; d’autre part, dans l’hypothèse d’un contrôle fiscal, celui-ci sera limité – sauf s’il est étendu à l’ensemble des revenus – aux opérations professionnelles.

    La situation est différente pour une société commerciale (SARL ou SAS, par exemple). Il est en effet obligatoire de disposer d’un compte bancaire professionnel.

    Le premier acte financier et juridique, avant même d’obtenir le K-bis de la société, consiste à verser tout ou partie ...

    Voir la réponse
  • Quand on évoque la présence d’un investisseur comme un facteur impactant le choix du statut juridique d’une entreprise, il n’est pas question de l’environnement proche de l’entrepreneur.

    En effet, les prises de participations familiales ou d’amis proches (plus couramment appelées « love money ») ne sont pas régies par les mêmes impératifs ou contraintes qu’à l’occasion de l’intervention d’un financier ou d’un industriel.

    Nous évoquons ici l’intervention d’un investisseur de type financier « pur », industriel ou acteur public, et les conséquences sur l’organisation juridique de la société et le statut à adopter.

    Droits de l’investisseur

    Dans un premier temps (au moins), l’investisseur n’a pas pour vocation de ...

    Voir la réponse
  • Pôle emploi a mis en place un dispositif visant à inciter les demandeurs d’emploi à créer ou reprendre une entreprise.

    À cet effet, le demandeur d’emploi perçoit l’allocation de retour à l’emploi, même s’il se lance dans l’aventure entrepreneuriale et qu’il ne recherche pas d’activité salariée dans le cadre d’un contrat de travail.

    Ainsi, pendant le temps où il perçoit son allocation de retour à l’emploi, l’entrepreneur peut ne pas être obnubilé par la rentabilité de sa nouvelle entreprise pour être en mesure de se rémunérer.

    La trésorerie ainsi laissée dans l’entreprise peut être utilisée pour communiquer, investir, développer le marketing et la ...

    Voir la réponse
  • Nous avons identifié quatre questions essentielles à se poser et dont les réponses peuvent avoir une incidence forte sur le choix du statut juridique de l’entrepreneur :

    les charges sociales la présence d’un investisseur l’accompagnement par Pôle emploi dans le cadre de l’ARE la visibilité

     

    Les conclusions auxquelles ces raisonnements conduisent se résument de la manière suivante :

    Une personne plutôt éloignée de l’âge de la retraite, quand elle sera en capacité de se rémunérer, aurait intérêt à exercer sous le format SARL (ou EIRL). À l’inverse, une personne proche de la retraite constituerait une SAS ou une SASU, et la conserverait pendant la retraite. La ...
    Voir la réponse
  • La SAS renvoie l’image d’une société commerciale à la fois dynamique et solide.

    Cette idée a été longtemps véhiculée parce qu’il fallait un capital minimum de 37 000 € pour en constituer une et qu’un commissaire aux comptes était obligatoire, quelle que soit sa taille.

    Aujourd’hui, une SAS peut se constituer avec un unique associé, un capital de 1 €, et dans la plupart des situations, sans commissaire aux comptes !

    Des obligations allégées

    Ainsi, l’entrepreneur qui constituait une SAS démontrait qu’il avait des moyens financiers relativement importants et que ces moyens financiers étaient investis dans son projet.

    Cela dit, n’ayant pas l’obligation de verser intégralement la totalité de ...

    Voir la réponse
  • Comment immatriculer une sarl ou sas

    Le législateur a souhaité augmenter la protection du patrimoine des travailleurs indépendants, à savoir ceux n’ayant pas constitué de société de type SARL ou SAS. En constituant une entreprise individuelle à responsabilité limitée (EIRL), le patrimoine de l’entrepreneur est protégé des éventuels créanciers avec la même force que s’il avait constitué une société commerciale.

    Il reste toutefois entrepreneur individuel. Il affecte à son activité professionnelle un bien ou de l’argent, et si son activité périclite, seuls ces biens affectés risquent d’être perdus.

    Fiscalité

    Le bénéfice de l’entrepreneur a la possibilité d’être taxé, comme pour les sociétés commerciales, à l’impôt sur les sociétés, avec le système des ...

    Voir la réponse
  • C’est une situation assez courante que de s’associer avec son conjoint à la fois dans le capital et les fonctions de gestion de l’activité créée. Le législateur a prévu des statuts spécifiques avantageux pour le conjoint qui effectue un travail effectif.

    L’entrepreneur a le choix entre trois statuts différents : conjoint salarié, collaborateur ou associé.

    Conjoint salarié

    Quelle que soit la forme juridique, si le conjoint perçoit une rémunération supérieure ou égale au SMIC, il entre dans la catégorie des salariés « classiques » et à ce titre bénéficie de la protection sociale attachée à ce statut.

    Dans une entreprise soumise à l’impôt sur les sociétés, la rémunération versée au conjoint, ...

    Voir la réponse
  • Parmi les actes de gestion d’une entreprise, il en est un qui est déterminant pour son développement, presque autant que de faire croître son chiffre d’affaires : suivre sa trésorerie et l’anticiper.

    Devant les tribunaux de commerce, il est courant de rencontrer des dirigeants dont la société est en croissance et qui traduisent à leur manière l’adage souvent utilisé en gestion d’entreprise : « On peut mourir en bonne santé. » Une société qui ne finance pas sa croissance et n’a pas mis en place un suivi de trésorerie fiable et pérenne peut se retrouver dans une situation où la seule manière de s’en ...

    Voir la réponse
  • Auto-entrepreneur, est-ce le statut idéal pour se lancer ?

    La question mérite d’être posée au vu de l’image véhiculée par l’auto-entreprise, et il serait dommage de prendre le risque de n’être pas tout à fait crédible lors du lancement d’un nouveau service ou produit. Dans certaines activités, le statut juridique et l’image qu’il représente sont à analyser avec précaution avant de se lancer.

    Par ailleurs, tout le monde connaît les seuils – ou a une idée du volume d’activité maximum – en deçà desquels il est possible de s’inscrire en auto-entrepreneur ; certains partenaires de l’entreprise (clients ou fournisseurs, par exemple) pourraient penser que ce n’est qu’une petite activité dont le responsable ...

    Voir la réponse
  • Il est possible de créer une société ou d’immatriculer une entreprise individuelle alors que l’on vient de liquider ses droits à la retraite. Juridiquement, il n’y a aucune interdiction.

    Principe général

    Un salarié qui part à la retraite peut percevoir toute rémunération issue d’un régime de travailleur non salarié (TNS), sans limitation ou réduction de sa pension, dès lors qu’il satisfait à la condition suivante : avoir au minimum l’âge permettant de bénéficier d’une retraite à taux plein, tout en respectant l’âge légal de départ à la retraite. Cette situation est assez confortable, car elle permet de lancer une activité, de ne pas obérer sa ...

    Voir la réponse
  • Le business plan, un document indispensable

    Quand on évoque le business plan, on fait référence le plus souvent à un compte de résultat, partant du chiffre d’affaires pour obtenir une vision du résultat net. Cette approche est à l’évidence indispensable et permet de prendre rapidement conscience de la viabilité du projet au regard de la rémunération souhaitée par l’entrepreneur. Il peut également servir d’indicateur pour finaliser son choix juridique et fiscal.

    Quelques règles sont à respecter quant à l’élaboration d’un tel document Ne pas oublier de raisonner sans la TVA pour le compte de résultat. Chiffre d’affaires prévisionnel : Dans la plupart des statuts juridiques, retenir les facturations réalisées au cours de l’exercice (ne pas ...
    Voir la réponse
  • Vous n'avez pas de banquier ?
    Qu’est-ce qu’un business angel ?

    Un business angel est une personne physique qui investit une partie de son argent, ses compétences et son temps, dans une entreprise qui se crée (start-up). Un business angel entre au capital de l’entreprise pour mettre à contribution son réseau et ses compétences, avec pour objectif de participer à une aventure entrepreneuriale. Son but est de sortir par le haut, en fonction du succès de l’entreprise.

    Quel type de projet est le mieux adapté à un financement par les business angels ?

    Le financement des startups par les business angels s’applique à une toute petite catégorie d’entreprises. Il s’agit ...

    Voir la réponse
  • Le crowdfunding, c’est quoi ?

    Le crowdfunding, c’est financer un projet en faisant appel à une communauté, à la foule. Il y a 3 types de marchés :

    Le reward-based, qui se fait notamment chez KissKissBankBank : financer un projet en échange de contreparties qui ne sont pas économiques mais qui ont une dimension émotionnelle. Le prêt entre particulier, rémunéré ou non. Cela s’adresse à des projets de particuliers ou à des entreprises. L’equity based ou le micro venturing : investir de l’argent dans une entreprise contre des parts. Pour quel type de projet le crowdfunding est-il le mieux adapté ?

    Le crowdfunding s’adresse à ...

    Voir la réponse
  • Que se passe-t-il pendant les 12 premiers mois de vie de l’entreprise ? C’est une question essentielle pour appréhender sans risque les premières échéances de l’entreprise. La situation est différente selon le statut social du dirigeant de l’entreprise et du statut fiscal de l’entreprise.

    Eléments fiscaux

    La première année (pour une date de clôture au 31 décembre), pour les entreprises selon le régime simplifié (cas de la plupart des entreprises au cours de leurs premières années d’activité), une déclaration de TVA trimestrielle est à produire, aux dates suivantes : 15 avril, 15 juillet, 15 septembre et 15 décembre. La TVA à déclarer est un acompte, en vertu des ...

    Voir la réponse
  • Bénéficier des avantages SAS et SARL

    Un entrepreneur peut souhaiter constituer une SAS pour des questions d’image, ou parce qu’à terme un investisseur fera son entrée au capital, tout en souhaitant bénéficier du régime des travailleurs non salariés.

    Or, ce régime est le statut adopté par les gérants majoritaires de SARL.

    De même, des associés dans une même société peuvent avoir des intérêts divergents en matière de rémunération (quant au montant ou à la nature), de poids des charges sociales, etc.

    Cas concret

    Prenons l’exemple de deux associés dont l’un souhaite une rémunération de gérance faible (parce qu’il a d’autres revenus par ailleurs) et l’autre a des besoins financiers plus importants.

    Le premier sera intéressée par ...
    Voir la réponse
  • statuts juridique et charges sociales

    Dans le processus déclaratif qui s’impose aux gérants de SARL, il y a un fort décalage entre le moment où l’entrepreneur perçoit sa rémunération et le paiement de ses charges sociales. Ce décalage peut aller jusqu’à une année.

    La première année

    La première année où l’entrepreneur perçoit sa rémunération, il se passe les événements suivants  :

    Paiement de cotisations sur la base de la rémunération de l’année précédente, donc évaluées sur la base d’un forfait, ou éventuellement nulles.Perception d’une rémunération.

    Ainsi, lorsque l’entrepreneur touche sa rémunération, il acquitte les charges sociales évaluées sur une rémunération surement plus basse. Les organismes sociaux vont donc lui envoyer en fin d’année ...

    Voir la réponse
  • me verser un dividende sans me rémunéré

    Les dividendes correspondent à de la trésorerie disponible dans la société une fois l’ensemble des dépenses déduites, y compris l’impôt sur les sociétés. Il s’agit donc d’une trésorerie complémentaire, à disposition des propriétaires de parts sociales, une fois l’ensemble des acteurs – dont le gérant – régulièrement payés.

    Le soutien de Pôle Emploi 

    Certains entrepreneurs bénéficient en parallèle du soutien du Pôle Emploi: perception d’une indemnité pendant 15 ou 36 mois une fois leur activité immatriculée.

    Toutefois, l’aide accordée par cet organisme est conditionnée au fait que le créateur retrouve une rémunération voisine de celle qu’il avait précédemment, quand il était salarié.

    Sont à déclarer ...

    Voir la réponse
  • omment calculer les dividendes d'une société

    Mis à jour le 05 octobre 2020

    La notion de dividendes fait référence à l’« utilisation » des bénéfices d’une société commerciale. Il ne peut y avoir de dividendes pour un auto-entrepreneur ou une société civile immobilière, par exemple.

    Comment et qui peut toucher des dividendes ?

    Les dividendes représentent la part des bénéfices qui est distribuée aux associés (SARL) ou aux actionnaires (SASU) suite à une décision de l’assemblée générale.

    Il ne peut y avoir de distribution de dividendes que si la société fait des bénéfices ou en a fait par le passé.

    En effet, lors de l’assemblée générale réunissant les associé (SARL) ou les actionnaires (SASU), s’il est estimé que l’entreprise n’a pas assez ...

    Voir la réponse
  • Calendrier fiscal

    Le calendrier de production des déclarations fiscales est indépendant du statut juridique, ce qui n’est pas le cas pour les déclarations sociales.

    Calendrier fiscal

    Toute entreprise (SARL, EURL, EIRL, SAS ou SASU, SCOOP, etc.) dispose de 3 mois pour produire la déclaration fiscale professionnelle, à partir de la date de clôture des comptes.

    Pour les structures soumises à l’impôt sur les sociétés, le solde d’impôt est à payer 15 jours plus tard soit  trois mois et demi après la date de clôture.

    Cas concret

    Par exemple, une société clôturant ses comptes au 31 mars, doit produire sa déclaration fiscale professionnelle pour le 30 juin ...

    Voir la réponse
  • conseil

    Prenons l’hypothèse d’un créateur d’entreprise dont l’activité serait de réaliser des missions de conseil. Il perçoit des indemnités de retour à l’emploi versées par le Pôle Emploi. Dans ce type de situation, assez courant, existe-t-il un statut idéal permettant d’optimiser et de sécuriser la situation de ce créateur ?

    Choisir les bons statuts

    Dans une vision à long terme – dépassant ici 3 ou 4 années – , le statut qui semble adapté à cette situation doit pouvoir répondre aux critères suivants :

    Facilité d’utilisation et de mise en place.Protection du patrimoine personnel et familial.Possibilité d’optimiser la fiscalité du créateur et celle de son entreprise. Possibilité d’arbitrer entre fiscalité et ...
    Voir la réponse
  • ma société dépose le bilan
    Quand dépose-t-on le bilan ?

    La loi prévoit que l’on arrête son activité si les dettes sont supérieures aux actifs (créances clients à se faire payer, solde des comptes bancaires, etc.).

    Si un entrepreneur est dans cette situation, il doit contacter le tribunal de commerce pour l’en informer et bénéficier de son aide.

    Le tribunal nomme un administrateur judiciaire chargé d’évaluer les possibilités de redressement et de prendre en main la société.

    Que se passe-t-il ?

    S’il s’avère qu’il semble impossible de redresser la société, le tribunal ordonne immédiatement la liquidation judiciaire, et un mandataire judiciaire (liquidateur) est chargé de réaliser ces opérations (rupture des contrats, paiement ...

    Voir la réponse
  • emprunt et création d'entreprise

    Nos créateurs de demain ont aujourd’hui du mal à trouver des banques prêtes à leur accorder un emprunt.

    En effet, la nouveauté et l’inconnu peuvent être des facteurs de doute chez un banquier qui doit, avant toute chose, avoir une garantie de pouvoir être remboursé. Qu’en est-il du dossier bancaire et des différentes garanties que les banques recherchent ?

    Quelles sont les garanties pour la banque ?

    L’établissement bancaire va essayer de se rassurer sur deux points : l’engagement des associés dans le projet de l’entreprise  & l’engagement des associés quant à leur patrimoine personnel.

    Engagement des associés dans le projet de l’entreprise

    La démarche pour ...

    Voir la réponse
  • Dissoudre la société

    Arrêter une activité exercée sous forme de société commerciale suppose de prendre des décisions juridiques. Soit l’entrepreneur décide de mettre en sommeil la société, soit il la dissout pour arrêter définitivement l’exercice de sa profession sous cette forme.

    La mise en sommeil

    La mise en sommeil requiert uniquement une assemblée générale extraordinaire ; sans que la société soit dissoute, elle est réputée inactive.

    La dissolution de la structure juridique est plus radicale ; la procédure comporte deux grandes étapes :

    Dissolution de la société

    L’activité s’arrête et la société clôt les opérations en cours.

    Pour qu’une société soit déclarée en dissolution, un procès-verbal d’assemblée générale extraordinaire est requis.

    Cette dernière nomme le liquidateur, ...

    Voir la réponse
  • Obtenir un prêt auprès de la banque

    Toute entreprise nécessite un minimum de fonds, que ce soit en démarrage d’activité ou en phase de développement. Les banques restent le choix privilégié pour obtenir un financement.  Nous avons rencontré Jacques Giron, directeur des partenariats professionnels à la Bred, qui nous a expliqué comment convaincre un banquier de financer un projet.

    Quel est le rôle de la banque ?

    La banque reçoit le porteur de projet et s’intéresse à deux points :

    Le créateur lui-même : sa formation et son expérience sont-elles en adéquation avec son projet ? Quelle est sa situation financière ?Le business plan : quel est le produit, la clientèle, la concurrence ?  Comment le porteur de projet va-t-il toucher sa clientèle ? A-t-il déjà un carnet ...
    Voir la réponse
  • Le fait de constituer une société seul(e), alors que l’on est marié(e) ou pacsé(e), est bien évidemment possible. Les questions à se poser résident dans l’appréciation du risque qu’il peut y avoir pour la société si la communauté est dissoute, ou plus généralement s’il y a divorce.

    Que se passe-t-il en cas de divorce ?

    Une société dont le capital a été versé en prélèvement sur les fonds communs, dans le cadre d’un couple sous le régime de la communauté réduite aux acquêts, fait partie du patrimoine commun, et en cas de liquidation de la communauté (divorce), la société est évaluée au jour ...

    Voir la réponse
  • À la création de la société, il est indispensable qu’elle soit gérée et administrée par une personne appelée gérant (pour une SARL) ou président (pour une SAS).

    Être gérant majoritaire

    Être gérant majoritaire signifie que l’on détient plus de 50 % du capital. L’on est donc dans la position de décider seul pour toutes les décisions relevant d’une assemblée générale ordinaire.

    Il s’agit de questions courantes de gestion, telles que nommer le gérant, fixer sa rémunération, évaluer le montant des éventuels dividendes à distribuer, etc.

    Donc, au-delà du statut social différent, il faut être conscient que ne pas être majoritaire dans une société revient à disposer d’un pouvoir et ...

    Voir la réponse
  • Au démarrage de l’entreprise, quel que soit le statut juridique adopté, y compris en société commerciale, l’entrepreneur peut être seul investisseur. Il est en effet possible de constituer une société commerciale de type SARL ou SAS avec un associé unique.

    SARL ou SAS

    Dans le premier cas, il s’agit d’une SARL à unique associé – appelée aussi EURL, entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée (découvrez les documents utiles à sa création) et dans le second d’une SASU, société anonyme simplifiée unipersonnelle (découvrez les documents utiles à sa création).

    À tout moment, il est possible de faire entrer au capital un ou plusieurs ...

    Voir la réponse
  • Une personne qui se trouverait à quelques années de la retraite, et qui serait dans le cadre des lois actuelles, accompagnée par le Pôle Emploi, pourrait adopter le schéma de réflexion suivant.

    Cotisations

    Pendant le temps où le créateur est suivi par Pôle Emploi, elle bénéficiera du maintien de ses allocations, pendant un temps minimum de 36 mois, pour lui permettre de ne pas obérer la trésorerie naissante de sa société pour se rémunérer et vivre convenablement.

    Le créateur percevra donc une rémunération (salaire en SAS ou rémunération de gérant en SARL), modique, voire nulle. Il ne cotisera donc que très peu, ou ...

    Voir la réponse
  • 10 astuces pour améliorer la visibilité de son entreprise

    Pour beaucoup d’entrepreneurs, la recherche des premiers clients représente un défi de taille et communiquer efficacement est donc essentiel. Plusieurs solutions existent pour accroître la visibilité d’une start-up à moindre coût. En voici quelques-unes.

    1. Créer un site internet bien référencé

    Ça peut paraître évident, mais trop d’entrepreneurs passent encore à côté de la création d’un bon site web.

    Même dans le cadre d’une petite activité pour laquelle vous trouverez principalement vos clients par le biais du bouche-à-oreille, un site web de qualité est essentiel, car il sera un élément de réassurance pour vos prospects.

    Vous en avez déjà sûrement fait ...

    Voir la réponse
  • Aujourd’hui, 88% des français utilisent Internet* et 82,7% des internautes français achètent en ligne*.La place d’internet dans les pratiques de consommation nationales est donc majeure. Parallèlement, 36% des entreprises françaises utilisent les réseaux sociaux.

    Au regard de ces chiffres, on saisit facilement l’enjeu pour tout entrepreneur d’être actif en ligne.

    Comment élaborer sa stratégie digitale ? Quels medias privilégier et comment organiser sa présence sur le web ? Comment créer son site internet professionnel ? Ce guide vous donnera quelques lignes directrices pour répondre à ces questions.

    Quels sont les leviers de la visibilité web ?

    Toute entreprise a intérêt à inscrire sa ...

    Voir la réponse
  • Comment bien choisir sa banque quand on crée son entreprise

    Les sociétés commerciales sont tenues d’ouvrir un compte bancaire professionnel, et il est vivement recommandé pour les entrepreneurs individuels de procéder de même. Face à un réseau bancaire français dont chaque acteur annonce être LA banque de la création d’entreprise, laquelle choisir ?

    Privilégier sa banque personnelle pour ouvrir un compte professionnel ?

    À l’occasion du lancement d’une activité nouvelle, la simplicité est de mise : privilégier sa banque personnelle est, dans un premier temps, préférable.

    Aux yeux de beaucoup de créateurs d’entreprise, le coût élevé des frais de gestion, surtout en comparaison avec le fonctionnement courant d’un compte bancaire personnel caractérise souvent un compte professionnel.

    Rappelons que ...

    Voir la réponse
  • Comment déménager sa société

    La loi exige que la société soit domiciliée quelque part. Il est d’usage d’utiliser son domicile personnel en tant que siège social pour une création de société qui ne nécessite pas d’employer des locaux indépendants.

    Une procédure simple

    Pour faire déménager une société, la procédure est simple, mais nécessite tout de même de respecter quelques étapes juridiques indispensables.

    Dans les statuts, il est généralement prévu que le gérant peut seul décider de modifier le siège social, sans recours à l’assemblée générale et aux modifications statutaires s’il s’agit de déménager le siège social dans le même département ou dans un département limitrophe.

    Dans ce cas, il suffit de compléter ...

    Voir la réponse
  • Pour attirer des clients et se faire connaître, plusieurs moyens peu onéreux sont à la disposition des entrepreneurs. Voici 10 astuces utiles pour faire parler de vous et de votre start up :

    2ème partie de notre article sur les astuces liées à la visibilité de votre société

    Consultez ici les astuces 1 à 5

    6. Publier une newsletter

    Vous avez un réseau et un blog passionnant, il est donc temps pour vous de rédiger une newsletter.

    Définissez un rythme d’envoi et surtout un but à votre newsletter : doit-elle vous servir à vendre, à augmenter la visibilité de votre site ou les deux ...

    Voir la réponse
  • L’étude de marché est un point essentiel de la création d’entreprise. Elle sert à identifier les opportunités et les problèmes existants afin d’adapter son offre à la demande.

    L’étude de marché : un outil indispensable

    C’est un outil de grande qualité pour déterminer la viabilité d’un projet. Il permet de confronter l’idée à la réalité.

    Une bonne étude de marché permet de déterminer qui sont les clients potentiels, quels sont leurs besoins et comment leur faire acheter mes produits/services et non ceux de mes concurrents.

    Les quatre points principaux à considérer au moment de réaliser son étude de marché sont : 

    les caractéristiques du marché, ...
    Voir la réponse
  • trois idées pour optimiser sa newsletter

    À l’heure où nous sommes nombreux à nous sentir spammés au quotidien par les newsletters et autres infolettres d’entreprises, il est essentiel de savoir utiliser cet outil qui, correctement administré, peut provoquer de belles opportunités de croissance en augmentant votre visibilité et vos ventes.

    Voici trois idées qui vous permettront de tirer profit de votre newsletter :

    Cibler les inscrits à la newsletter

    Assurez-vous que votre newsletter est suffisamment ciblée : ne l’envoyez pas à n’importe qui mais à des personnes ayant clairement un attrait pour votre activité. Vous pouvez également choisir de diviser vos inscrits en plusieurs sous-groupes, pour ...

    Voir la réponse
  • Comment immatriculer une sarl ou sas
    Dossier de constitution d’une SAS ou SARL

    Immatriculer une société requiert la préparation d’un dossier.

    Les documents suivants sont à réunir :

    Statuts de la société paraphés et signés par chaque associé ou actionnaire,Certificat de dépôt du capital (Fourni par le banquier en 3 exemplaires).Procès-verbal de l’assemblée de constitution.Déclaration de non-condamnation et de filiation du gérant (Il atteste sur l’honneur qu’il n’a pas fait l’objet d’une condamnation civile ou pénale entraînant l’interdiction de gérer une société ; en outre, il précise les nom, prénom(s), date et lieu de naissance de ses parents).Formulaire TNS (si SARL).Formulaire M0 (il s’agit de renseignements administratifs relatifs à la personne du gérant (numéro de ...
    Voir la réponse
  •  

    Créez votre entreprise

    La Maison de l’Entrepreneur vous accompagne dans la constitution de votre dossier d’immatriculation de SARL, EURL, SAS ou SASU. Confiez-nous toutes les démarches administratives, de la rédaction des statuts au suivi du dossier au greffe du tribunal de commerce.

    J’immatricule ma société !

    Pour aller plus loin : Comment immatriculer sa SARL ou sa SAS ? Explication complète de la procédure !

     

    Voir la réponse
  • Faut-il vraiment écrire un business plan

    Dès l’instant où vous parlez de créer votre entreprise, tout le monde n’a qu’un mot à la bouche : le business plan !

    Si son utilité paraît évidente pour des projets ayant besoin de lever des fonds conséquents, beaucoup d’entrepreneurs ne se lancent pas dans la réalisation d’un business plan pour des activités plus modestes.

    Alors le business plan est-il réservé aux entrepreneurs rêvant de fonder le nouveau Google ? Voici trois arguments qui devraient vous convaincre du contraire.

    1.     Faire un business plan pour savoir ce qu’on fait.

    A priori, si vous créez votre boîte, c’est que vous savez ce que vous faites. Mais êtes-vous vraiment capable ...

    Voir la réponse
  • époser ses comptes au greffe ou pas

    La loi est claire : toute société doit déposer ses comptes au greffe du tribunal de commerce, à la suite de l’assemblée générale qui s’est normalement tenue dans les 6 mois de la clôture des comptes.

    Nous ne parlons pas ici des comptes à déposer à l’administration fiscale, mais bien de l’information à communiquer auprès du tribunal de commerce.

    Un grand nombre d’entreprises ne déposent pas leurs comptes, spécialement en phase de démarrage, redoutant que leur principal (parfois unique) client, leurs partenaires, leurs prospects éventuels, n’aient connaissance des chiffres.

    Un client d’une société se rendant compte qu’il est le plus gros client aura tendance à négocier ...

    Voir la réponse
  • TVA et frais professionnels

    Tout professionnel, dont l’activité est assujettie à la TVA a le droit de faire une demande de remboursement dès l’instant où elle a été payée au titre de dépenses professionnelles.

    Si la question s’arrêtait là, ce serait finalement assez simple, et très facile à calculer !

    Une question se pose souvent sur les frais de déplacement, de restauration et de logement.

    En partant du fait qu’il s’agit bien de dépenses engagées pour réaliser du chiffre d’affaires, pour prospecter, se développer ou se faire connaître, la TVA n’est pas toujours prise en compte par Bercy.

    Frais liés à la personne : Toute dépense qui concerne uniquement le ...

    Voir la réponse
  • Libérer son capital

    Il est possible de verser le capital d’une société en plusieurs fois ; on dispose même d’un délai de 5 années pour le faire. Dans ce cas, on dit que le capital n’est pas entièrement libéré à la constitution.

    Comment faire ?

    S’il est prévu un capital de 5 000 €, le jour de l’ouverture du compte bancaire l’associé fait un chèque de 3 000 € – par exemple – à déposer en banque. L’année suivante, il a la possibilité de faire un chèque du solde à verser – soit ici 2 000 € –, de le mettre en banque et de mentionner dans une assemblée générale qu’il a libéré tout le capital.

    Si l’associé a ...

    Voir la réponse
  • Puis-je récupérer la TVA sur toutes mes dépenses ?
    Régime simplifié

    De manière assez étonnante, ce régime est surtout simplifié à partir de la deuxième année d’activité. Le principe est voisin de celui régissant le paiement des tiers d’impôt sur le revenu : au cours d’une année, le contribuable paie un acompte d’impôt qui est régularisé une fois la déclaration de revenu traitée par l’administration.

    En matière de TVA, dans le cadre du régime simplifié, c’est la même chose : en année N, l’entrepreneur paie à l’administration fiscale des acomptes de TVA évalués à partir de celle de l’année précédente. En fin d’année, il est procédé à un calcul précis de la TVA qui ...

    Voir la réponse
  • Quel est l'objectif du Business Plan ?
    Respecter les conditions de formes légales

    Les factures à émettre auprès des clients sont soumises à un formalisme obligatoire, défini par l’administration fiscale.

    Si un entrepreneur envoie une facture à son client, alors qu’elle ne respecte pas les conditions de forme légales, ce dernier peut lui renvoyer en lui demandant de la corriger et de lui en faire parvenir une nouvelle.

    Au-delà du temps passé à modifier ses factures, c’est le délai de paiement qui s’allonge !

    Les mentions obligatoires

    Pour rédiger une facture valable, les mentions suivantes doivent obligatoirement apparaitre :

    nom et forme juridique de la société (exemple : JEVEND, SARL au capital de 3.000 €), l’adresse ...
    Voir la réponse
  • Quelle protection sociale pour le repreneur d'entreprise ?
    La protection sociale du repreneur

    La protection sociale obligatoire du repreneur d’entreprise comprend deux éléments :

    L’assurance maladie La retraite. L’assurance maladie L’assurance maladie est-elle différente entre les statuts présentés ?

    L’assurance maladie couvre les remboursements de frais médicaux, l’hospitalisation, les frais dentaires, avec le mécanisme de la carte Vitale.

    Certaines dépenses ne sont pas du tout prises en charge, d’autres partiellement et un nombre limité de pathologies assurent la personne d’être prise en charge pour l’intégralité de ses frais médicaux.

    Il n’est pas question ici de mutuelle, qui, pour un repreneur, n’est… jamais obligatoire.

    En effet, il faudrait qu’il existe un contrat de travail pour que la mutuelle ...

    Voir la réponse
  • Quel statut pour un repreneur d'entreprise ?
    Définir son statut social

    Se poser la question du statut juridique du repreneur d’entreprise revient dans un premier temps à définir son statut social et la manière dont il va être protégé socialement.

    En effet, si l’on reprend les critères discriminants du choix de la forme juridique (SAS, SASU, SARL, SARL à unique associé, SCOP), il en est qui peuvent être mis de côté :

    société ou pas société : la question ne se pose pas, dans la mesure où le repreneur cherche à déduire les intérêts d’emprunt de son acquisition, donc, il lui faut obligatoirement une forme juridique de type société commerciale, ...
    Voir la réponse
  • Les acteurs de la reprise d'entreprise
    Un billard à trois bandes

    Toute reprise d’entreprise met en relation trois partenaires, sur un calendrier précis et globalement très rapide : le cédant, les salariés et le repreneur.

    Le scénario habituel est le suivant :

    le cédant négocie, en secret, avec le repreneur, les conditions de vente de son entreprise le cédant annonce aux salariés qu’il vend son entreprise au repreneur le cédant présente le repreneur aux salariés et ils sont tous les deux présents pendant une certaine durée le cédant quitte définitivement l’entreprise et laisse en présence les salariés et le repreneur

    Il y a 3 ruptures, au sens du passage forcé, presque soudain, et ...

    Voir la réponse
  • Qu'appelle-t-on "reprise d'un fonds de commerce" ?

    Dans le microcosme de la reprise des PME ou des TPE, le calcul qui débouche sur l’évaluation de la société ne peut être le seul élément à prendre en compte pour négocier le prix.

    L’aspect affectif, très souvent fortement ressenti (pas systématiquement exprimé) par le vendeur, le souhait de céder son entreprise à untel ou untel, le calendrier, sont autant de paramètres qui influent sur la valeur et donc sur le prix.

    Toutefois, dans une première approche, deux critères qui dans un grand nombre de situations entrent en jeu sont souvent négligés :

    L’avis du banquier

    Pour envisager de financer une acquisition, le banquier ...

    Voir la réponse
  • Statut fiscal et social du dirigeant
    La reprise d’entreprise : un enjeu majeur

    D’après l’INSEE et le rapport parlementaire (écrit par Mme Claude NOUGEIN et M. Michel VASPART) remis au président en novembre 2017, la France comptabilise près de 60 000 entreprises à céder chaque année, et environ 30 000 d’entre elles disparaissent, en l’absence de repreneurs fiables !

    La reprise d’entreprise devient un enjeu majeur, non seulement pour le maintien des emplois existants, mais également pour en créer de nouveaux : une société transmise, le plus souvent à une personne plus jeune, en quête d’un projet professionnel fort est de nature à redonner un nouveau souffle, à ...

    Voir la réponse
  • Rémunération & Dividendes
    Les méthodes de calcul couramment utilisées

    Trois méthodes de calcul sont couramment utilisées par les cédants et contrôlées par les conseils des repreneurs !

    Le point de départ est toujours constitué des comptes de l’entreprise, sur les deux ou trois dernières années.

    Si les audits révèlent des ajustements sur les comptes et plus précisément sur les résultats, la valorisation en tient compte.

    La valorisation patrimoniale

    La valeur est déterminée à partir de l’actif net corrigé.

    Pour cela, l’évaluateur prend comme base de calcul les capitaux propres et analyse si les postes du bilan sont correctement évalués.

    L’objectif est de parvenir à une valeur vénale des éléments composant ...

    Voir la réponse
  • Quels sont les risques financiers ?
    Montage de reprise S’agit-il d’un risque aujourd’hui ?

    OUI, si l’on considère que le repreneur dispose d’un choix très ouvert (et inquiétant) quant au choix de sa forme juridique !

    NON, parce que dès qu’il y a emprunt, salariés et risques clients, il ne peut être constitué qu’une société de capitaux (format SARL, SCOP ou SAS) de manière à privilégier la protection du patrimoine du repreneur.

    Fiscalement, il n’y a pas vraiment de zone de risques, mais plutôt des conseils à donner pour optimiser le poids de la fiscalité du repreneur.

    D’ailleurs, l’incidence de la fiscalité sur le choix du statut juridique pour tout ...

    Voir la réponse
  • Quels sont les risques financiers ?
    La mariée est trop belle… ou son portrait trop flatteur !

    Acquérir une société revient à acquérir à la fois le contenu (le fonds de commerce, les clients, les marges à venir, etc.) et le contenant (la société, son compte bancaire, ses créances et dettes, etc.), donc le présent et le futur, mais aussi le passé !

    L’activité a été gérée auparavant par un ou plusieurs gestionnaires, parfois depuis l’origine de la société et, dans un grand nombre de situations aujourd’hui, la relation entre les cédants et certains clients ou fournisseurs majeurs est très forte.

    C’est notamment le cas des PME gérées par ...

    Voir la réponse
  • Quels sont les risques financiers ?

    La question financière est présente au cœur de toute création d’entreprise et encore plus dans le cas particulier d’une reprise, dans la mesure où l’entrepreneur investit une partie de son épargne et prend des engagements bancaires sur plusieurs années.

    Toutefois, le repreneur dispose d’outils et de moyens forts, destinés à limiter la présence de ces risques et la survenance d’événements dramatiques.

    L’évaluation de la cible

    Il existe un grand nombre de méthodes de valorisation d’une société, dès l’instant où elle n’est pas cotée en bourse.

    Il se trouve presque autant de méthodes que de conseils prêts à fournir une valorisation précise.

    Des orientations par type ...
    Voir la réponse
  • Se préparer à la reprise
    Dimension personnelle Capacité à prendre des risques

    Le repreneur d’entreprise n’est pas responsable d’un service, aussi étoffé soit-il. Il est responsable de l’entreprise qui lui appartient.

    À de nombreuses reprises, il fait face à des situations où il est le seul à décider in fine.

    Malgré tous les conseils qu’il peut solliciter, il lui revient la décision finale, aussi délicate ou difficile soit-elle.

    Il est important que le repreneur puisse tester sa capacité à prendre des décisions complexes et qui vont faire réagir en face, peut-être mécontenter un partenaire, un client ou un salarié.

    Pendant le processus de reprise, de négociation, ce point peut être travaillé, ...

    Voir la réponse
  • Se préparer à la reprise
    Financement et apport personnel

    Une autre barrière à l’entrée pour reprendre une entreprise est financière.

    Il est illusoire de penser qu’acquérir une société, un potentiel de développement et une capacité à créer de la valeur puisse se faire sans un minimum d’apport personnel.

    L’apport personnel est nécessaire pour le banquier !

    Demander à un financeur d’avancer 100 % des sommes nécessaires pour l’acquisition d’un élément du patrimoine du repreneur est mal accueilli et il est très rare qu’une banque accepte un tel montage pour une première acquisition.

    Même en cherchant une organisation financière dont l’investissement de l’acquéreur soit porté majoritairement sur les garanties, il est peu ...

    Voir la réponse
  • Transformer une SASU en EURL : une opportunité ?
    Pourquoi transformer une SASU en EURL ?

    Un des avantages de l’EURL (ou plus juridiquement appelé SARL à unique associé) réside dans le coût social : un peu moins de la moitié du coût social d’une SASU.

    En effet, un entrepreneur éloigné de son départ en retraite se constituera une pension future, plus importante (avec le bénéfice des cotisations Madelin) et à coût moindre en comparaison avec une carrière professionnelle rémunérée sous le statut d’assimilé salarié.

    La SASU pour un retour à l’emploi

    La SASU est souvent choisie par les personnes accompagnées par Pôle Emploi, dans le cadre de l’Allocation de Retour à l’Emploi (ARE), pendant ...

    Voir la réponse
  • Comment se préparer personnellement à la reprise ?
    Le processus de reprise

    Le processus de reprise d’entreprise met l’entrepreneur, s’il s’agit de la première acquisition, dans une situation de contrôle, d’audit, de vérification de ce qui lui est raconté et expliqué.

    Il participe à des audits, vérifie sur place l’existant et se protège sur ce qui n’aurait peut-être pas été anticipé ou décelé.

    L’entrepreneur doit convaincre

    Dans le même temps, il doit convaincre qu’il est la personne de la situation !

    Face à son banquier, au cédant, aux salariés de la cible, il doit expliquer que lui ou elle seul(e) a capacité à reprendre cette société et à mener à bien ce projet ...

    Voir la réponse
  • Se préparer à la reprise
    L’environnement familial

    Des changements significatifs sont apportés à la vie professionnelle du repreneur, dans la période précédant la reprise d’entreprise, mais également dans la période post-reprise.

    Période de sélection de la cible

    La sélection de la cible, pour beaucoup, se situe pendant une période de chômage ou de fin de contrat de travail.

    L’organisation humaine et familiale est souvent différente d’un temps plus classique où le repreneur part travailler le matin et revient le soir.

    C’est un lieu commun que de mentionner cette modification dans les tâches quotidiennes et familiales, mais il est important de les noter et de s’y préparer.

    En effet, un temps de ...

    Voir la réponse
  • Les documents nécessaires au 1er diagnostic : les documents comptables et juridiques
    Quelle est son utilité ?

    Le compte de résultat prévisionnel sert :

    de données budgétaires pour les exercices suivants, et l’interface avec le suivi de la trésorerie permettra de connaître en temps réel les incidences d’une modification d’un élément du résultat (chiffre d’affaires ou dépenses).En fin d’année, l’analyse des écarts par rapport aux données budgétaires autorisera une estimation plus fine des résultats des années suivantes et deviendra à terme l’outil de pilotage indispensable du repreneur. de tableau de suivi mensuel sous forme de « reste à faire » (RAF). Le procédé de gestion est très simple à utiliser et très efficace comme outil ...
    Voir la réponse
  • Les déclarations de TVA sont à produire – éventuellement accompagnées d’un chèque – tous les mois ou trimestres. Pour l’administration fiscale, « pas de bonne nouvelle » est souvent synonyme de « mauvaise nouvelle ». De plus, le non-dépôt de déclaration fait encourir à la société le risque de devoir payer des amendes calculées en fonction du nombre de pages déclaratives non déposées ! Il est primordial de communiquer avec l’administration en cas de non-paiement de la TVA. Idéalement, il convient de contacter le service des impôts des entreprises et de voir avec lui comment traiter la situation.

    TVA sur les prestations de services

    Pour les activités de prestation ...

    Voir la réponse
  • Quels changements pour les Micro Entrepreneurs en 2018 ?
    Changement de seuils

    Fin décembre 2017 il a été acté un certain nombre de changements pour les micro-entrepreneurs à compter du 1er janvier 2018.

    Parmi ces changements, le plus notable reste la hausse des plafonds de chiffre d’affaires.

    En effet, comme annoncé lors de la dernière campagne présidentielle, les plafonds de chiffre d’affaires des micro-entrepreneurs sont fortement augmentés.

    Ainsi un micro-entrepreneur imposé dans la catégorie des bénéfices non commerciaux (BNC) vois le plafond de son activité porté de 33 200 € en 2017 à 70 000 € à compter du 1er janvier 2018.

    Le plafond des micro-entrepreneurs imposé dans la catégorie des bénéfices industriels et commerciaux (BIC) sera quant ...

    Voir la réponse
  • Se former, c’est dépassé ?
    La formation ne consiste pas uniquement à recevoir de l’information !

    En effet, suivre un cours magistral quand on est adulte avec un peu d’expérience professionnelle, c’est surement un peu désuet…. Quoique !

    Il y a deux enjeux essentiels à toute décision de formation, notamment celles destinées aux entrepreneurs :

    Challenger son projet et ses décisions Être conseillé !

     

    Challenger son projet et ses décisions Une formation, dans la plupart des cas, n’est pas individuelle.

    De manière volontaire, d’autres participants sont présents avec des objectifs en partie communs.

    Si l’animateur est professionnel, il fera réagir les participants, les incitera à s’exprimer, à échanger, à partager leur expérience.

    Dans certains cas, il s’agira même ...

    Voir la réponse
  • Comment rechercher une cible - Où trouver la cible idéale ?
    Choix de la cible

    Pour un repreneur qui n’est pas dans un projet de reprise d’entreprise familiale, ou d’une structure au sein de laquelle il a été salarié, c’est la première question qui se pose !

    Cette période dure souvent plusieurs mois, sachant que non seulement le choix est parfois compliqué à poser, mais qu’il est nécessaire qu’il soit, a minima, compliqué.

    En effet, dans la plupart des situations, il s’agit d’un projet de vie qui engage la famille, le conjoint et son activité professionnelle ainsi que les enfants et leurs études, quand il est question de choisir une région spécifique.

    C’est rarement la ...

    Voir la réponse
  • Le crédit d'impôt formation 2018
    Le crédit d’impôt formation : C’est quoi ?

    Il s’agit d’un remboursement d’impôt calculé sur le nombre d’heures que le dirigeant d’entreprise a consacré à sa formation.

    Même si l’impôt sur le revenu ou l’impôt sur les sociétés est nul, l’administration paie au contribuable ce crédit d’impôt.

    Il est très peu connu des gérants et présidents de sociétés et constitue un droit annuel ! Quelque soit son statut, un entrepreneur peut en bénéficier : président de SAS, gérant de SARL, entrepreneur individuel…sauf les auto-entrepreneurs.

    Quel est le montant du crédit d’impôt formation en 2018 ?

    Le montant remboursé par l’administration est égal au nombre d’heures de formation (plafonné à ...

    Voir la réponse
  • Les acteurs principaux pour accompagner le repreneur d'entreprise
    Quels professionnels ? Ne pas se limiter

    Se limiter aux deux professions du chiffre et du droit n’est pas suffisant et comporte même des risques.

    Apprécier l’opportunité d’un projet de reprise ne consiste pas uniquement à se protéger sur des sujets juridiques et financiers, et à être certain que la société soit payée ce qu’elle semble valoir.

    Deux autres intervenants nous semblent devoir être mobilisés et ce, idéalement, dès la cible identifiée ou celle sur laquelle un intérêt fort peut être marqué.

    Ils ont pour vocation à réduire deux risques majeurs dans une reprise d’entreprise : le risque managérial et le risque digital.

    Risque managérial

    Le dirigeant ...

    Voir la réponse
  • Les acteurs principaux pour accompagner le repreneur d'entreprise
    Quels professionnels ?

    Reprendre une entreprise, quels que soient le statut juridique et la taille de la cible, suppose un accompagnement spécifique qui n’est pas uniquement guidé par le « je ne veux pas me faire avoir ». Cette première motivation est tout à fait légitime.

    Une partie du rôle des intervenants extérieurs réside principalement en la mise en place d’outils de contrôle de ce qui a été dit et négocié, et leur mission consiste à protéger le repreneur de risques inhérents à l’entité reprise, mais pas uniquement !

    De manière évidente, il est d’usage de nommer deux professions qui interviennent systématiquement dans ...

    Voir la réponse
  • Se préparer à la reprise
    Montage à un étage

    C’est le schéma le plus couramment utilisé par les acquéreurs de fonds de commerce.

    N’étant pas dans la contrainte d’acquérir des titres, il leur suffit de constituer une structure qui se porte acquéreur du fonds de commerce.

    Au sein de cette structure, le repreneur exercera les fonctions de direction et cette nouvelle société sera :

    le nouvel employeur des salariés repris la personne morale responsable de l’activité commerciale

    Pour financer l’acquisition d’un actif, la société contracte un ou plusieurs emprunts, reçoit des apports en compte courant de son ou ses associés.

    Ainsi, la nouvelle entité facture ses clients, encaisse la marge réalisée sur ...

    Voir la réponse
  • Qu'appelle-t-on "reprise d'un fonds de commerce" ?
    Qu’est ce que le fond de commerce ?

    Le fonds de commerce constitue le contenant de la société dont l’activité intéresse l’acquéreur.

    Il s’agit donc des éléments permettant d’exploiter l’activité, tels que le nom de la marque, du produit ou des services vendus et l’ensemble des contrats nécessaires à cette exploitation.

    Le fonds de commerce ne comprend pas la société utilisée par le cédant ni son compte bancaire (et donc n’intègre pas la trésorerie au jour de la cession), les créances sur les clients, ni les dettes vers les fournisseurs ou l’État (charges sociales ou fiscales dues par la société).

    Cette forme de reprise ...

    Voir la réponse
  • Les acteurs de la reprise d'entreprise
    Marquer sa fonction

    Même si le repreneur connaît à la perfection le secteur d’activité dans lequel il évolue, il change de travail ou, plus précisément, il adjoint à son métier la dimension de dirigeant qui comprend du travail administratif, de la réflexion stratégique… et bien entendu du management et des décisions fortes.

    Dès les premiers jours de la transmission, le nouveau dirigeant doit marquer sa fonction, non pour écraser ses collaborateurs ou flatter son ego, mais parce qu’une entreprise a besoin de managers forts, particulièrement dans des périodes de transition et de questions.

    Poursuivre la prise de connaissance détaillée de son entreprise

    La phase ...

    Voir la réponse
  • Les acteurs de la reprise d'entreprise
    Les premières actions

    Le repreneur « débarque » dans un univers où il n’était pas invité, ni même connu (dans la majorité des situations de rachat d’entreprises) et devient de suite le nouveau patron et propriétaire des lieux ! Si le nouveau dirigeant souhaite ne pas réussir dans son projet, il prend l’attitude de l’envahisseur et se comporte en terrain conquis dès qu’il a franchi la porte d’entrée de l’entreprise !

    Trois attitudes nous semblent devoir guider les actions des premières semaines après la réalisation de l’acquisition :

    parler faire s’exprimer prendre en compte les besoins de l’équipe

    L’objectif est d’installer durablement la confiance et faciliter ...

    Voir la réponse
  • Les acteurs de la reprise d'entreprise
    Les premières actions (suite) Faire s’exprimer Échanges individuels

    Selon la taille de l’entreprise, un entretien individuel entre le repreneur et chaque salarié peut constituer un moment privilégié pour se connaître et recueillir les éventuelles sources d’inquiétude.

    Si l’expression est délicate ou limitée dans les premiers temps, mettre en place ces lieux d’échange permet de délivrer le message selon lequel le nouveau repreneur a une vraie préoccupation de communication.

    Le nouveau dirigeant peut définir des plages horaires de travail et d’échange (sur les objectifs, la situation du salarié, etc.) avec les collaborateurs avec qui il est en relation directe, selon un calendrier précis et, idéalement, immuable.

    Si ...

    Voir la réponse
  • Il y a de l’immobilier dans la cible : comment faire ?
    L’intérêt d’un bien immobilier

    Il est très intéressant de penser à être propriétaire de son bien immobilier quand on gère une entreprise et qu’elle a besoin de locaux pour exercer son activité.

    En effet, l’entrepreneur ou le repreneur bénéficie à la fois de l’effet de levier de l’emprunt et d’un intérêt fiscal.

    Le plus souvent, sans payer plus (ou à peine) que le loyer indispensable pour son activité, au bout d’une quinzaine d’années en moyenne, il est propriétaire d’un bien immobilier.

    La rentabilité d’un tel bien est souvent supérieure aux biens destinés à l’habitation.

    De l’immobilier dans la même société que la cible : intéressant ...
    Voir la réponse
  • Que faire de toutes les dépenses antérieures à la reprise ?
    Un projet de reprise d’entreprise : un projet entrepreneurial

    Dans la très grande majorité des situations, on procède d’ailleurs à l’immatriculation d’une société chargée d’acquérir les titres de la cible et de contracter des dettes financières vis-à-vis des financeurs qui ont participé à l’opération de reprise.

    Cette société est appelée souvent « holding » sans  d’ailleurs trop savoir, au-delà de l’aspect honorifique (« J’ai créé et je détiens une holding ») quels sont les incidences et les impacts fiscaux.

    Dans tout projet de reprise, il est possible de faire prendre en charge par la société nouvellement constituée les frais qui ont concouru ...

    Voir la réponse
  • Que faire du compte courant du cédant ?
    Définition du compte courant

    Le compte courant d’associé est une dette inscrite dans les comptes de la société, suite au versement par un ou plusieurs associés d’une somme d’argent – par exemple – sur le compte bancaire de la société.

    En pratique, l’associé prête de l’argent à sa société.

    La grande différence entre capital et compte courant d’associé réside dans sa liquidité, c’est-à-dire sa capacité à être remboursé : le capital est remboursé aux associés le jour de la dissolution de la société, alors que le compte courant d’associé peut être (sauf disposition contraire dans les statuts ou via une décision prise en assemblée générale) ...

    Voir la réponse
  • Emprunt et protection du patrimoine : comment procéder ?
    Protection du patrimoine

    La question de la protection du patrimoine est posée par tout entrepreneur, et avec plus d’acuité par tout repreneur d’entreprise, dans la mesure où l’acquisition de titres de société assortie d’un emprunt sur 7 ans suppose des garanties financières suffisantes.

    Il s’agit de rechercher l’organisation juridique assurant que le risque de non-paiement de l’emprunt n’aura pas d’incidence significative sur le patrimoine personnel de l’acquéreur, personne physique.

    La caution personnelle

    Aujourd’hui, tous les statuts juridiques protègent de la même manière les entrepreneurs.

    Toutefois, compte tenu des lois sur les procédures collectives (dépôt de bilan et liquidation judiciaire), le réseau bancaire cherche à prendre ...

    Voir la réponse
  • Le crédit vendeur : est-ce intéressant ?
    Modalités pratiques

    Dans les actes de cession d’actions (et préalablement dans le protocole de cession), il est prévu qu’une partie du prix sera réglée à une échéance différée et que cela constitue un crédit accordé par le cédant.

    Il ne s’agit pas d’une cession progressive des actions, mais d’une cession totale, pour laquelle l’intégralité du prix n’est pas versée au vendeur de manière immédiate.

    De manière habituelle, les achats de sociétés sont payés au comptant, et l’acquéreur emprunte au jour de la cession définitive.

    Les dispositions décidées entre le cédant et l’acquéreur devront idéalement être exposées (et donc signées) dès la lettre d’intention.

    La contrepartie ...

    Voir la réponse
  • Comment organiser son audit d'acquisition et à quel prix ?
    L’audit d’acquisition : définiton

    L’audit d’acquisition fait référence à des techniques de contrôle assez classiques, que l’on peut retrouver dans les missions de commissariat aux comptes (audit légal des comptes des sociétés).

    La plupart des experts-comptables sont également commissaires aux comptes et ils ont l’habitude de conduire ces audits.

    Cela dit, l’expert-comptable déroule des techniques spécifiques en vertu des souhaits et de la volonté du cessionnaire.

    Ce dernier peut souhaiter une revue plus ou moins approfondie des comptes et des procédures.

    Lettre de mission

    C’est pourquoi la lettre de mission, définissant le cadre dans lequel le professionnel met en œuvre son intervention d’audit, est indispensable afin ...

    Voir la réponse
  • Comment procéder à une revue juridique de la cible ?
    Qu’est ce qu’une revue juridique ?

    Une entreprise qui vend des produits ou des services et qui embauche du personnel pour répondre aux besoins de ses clients peut être analysée comme la succession d’un nombre très important d’actes juridiques.

    Le fondement de ces actes juridiques (prendre un bail pour les bureaux, embaucher des salariés et des contrats en alternance, définir des modalités de distribution de ses services, vendre sur Internet, etc.) est de l’ordre contractuel.

    Si le secteur professionnel de la société implique des règles d’exploitation strictes, telles que des normes d’hygiène ou des contraintes techniques, il appartient au repreneur soit de se ...

    Voir la réponse
  • Audit acquisition
    En quoi consiste l’audit social

    L’audit social de la société destinée à être vendue intègre deux types de travaux :

    l’audit des comptes enregistrant les opérations liées au personnel ; la prise de connaissance de la dynamique des ressources humaines.

    Au moment de la réalisation de cet audit, le repreneur n’a pas la possibilité de rentrer dans le détail de tout ce qui compose la dimension humaine d’une entreprise.

    Pour une part, il va devoir se fier au discours du cédant ; à charge pour lui, dès que l’opération d’acquisition est officielle, de se faire sa propre opinion.

    Le repreneur doit s’attacher à prendre connaissance des ...

    Voir la réponse
  • Audit organisationnel : comment bien anticiper?
    Audit organisationnel : Pourquoi ?

    Le ou les cédants ont mis en place une organisation interne que le repreneur découvre au fur et à mesure, une fois les actes d’acquisition signés.

    Toutefois, il est essentiel de prendre connaissance des grands axes de l’organisation de la cible, notamment pour :

    anticiper les coûts à venir identifier des faiblesses susceptibles d’avoir une incidence sur la valorisation Anticiper les coûts à venir

    Les minima à connaître dans l’organisation résident dans la structure de personnel et les éventuels recours à des tiers pour effectuer des travaux ou des tâches liées à l’exploitation courante de l’activité.

    En fonction de la description de ...

    Voir la réponse
  • Comment réussir son premier diagnostic ?
    Définir sa cible

    Pendant les premières semaines de recherche de la cible idéale, le repreneur d’entreprise doit sélectionner les dossiers entrant potentiellement dans ses critères.

    Il est important que l’entrepreneur définisse ses propres critères de choix, quitte à les infléchir dans un second temps.

    Cette inflexion est souvent guidée par la difficulté à concilier tous les critères initiaux.

    Il est recommandé de se fixer une grille d’analyse :

    Lieu géographique Type d’activité (secteur économique, nature de l’activité au sein de ce secteur) Fourchette de salariés à gérer Prix maximum envisagé Sélection des offres

    Le repreneur doit sélectionner des offres sur des structures à reprendre.

    La difficulté réside dans le choix qui se ...

    Voir la réponse
  • Les documents nécessaires au 1er diagnostic : Données sur le secteur d’activité
    Quelle données ?

    Afin de préparer au mieux la sélection des cibles potentielles, l’entrepreneur devra disposer d’informations sectorielles,

    Il s’agit de se documenter sur :

    L’état de maturité du marché dans lequel évoluent les cibles potentielles, Les niveaux de marge dans le secteur d’activité, Les contraintes juridiques et organisationnelles, liées à l’exercice du métier (licence,  autorisation administrative, etc.), Les formations ou attestations de compétences obligatoires à obtenir avant de devenir Président ou Gérant d’une société dans le domaine d’activité choisi. Les grands critères de valorisation (ne serait-ce que les minimas de valorisation des sociétés d’un point de vue fiscal). Il n’est pas nécessaire de connaître avec grande précision le ...
    Voir la réponse
  • Les documents nécessaires au 1er diagnostic : les documents comptables et juridiques
    Données comptables

    De manière théorique, les comptes sont produits annuellement et déposées auprès du greffe du tribunal de commerce.

    Les seules informations à recueillir auprès des greffes des tribunaux de commerce sont souvent insuffisantes, toutes les entreprises ne déposant pas leurs comptes, ou demandant à ce que ceux-ci soient confidentiels, donc non disponibles.

    Il faut souvent se rapprocher de bases de données privées, qui sont plus complètes et surtout présentent l’avantage de disposer d’une compilation des informations financières sur une période de l’ordre de dix années (bases de données payantes).

    Les documents comptables à récupérer :

    Bilans et comptes de résultat, sur un minima de 3 ...
    Voir la réponse
  • Les frais de repas sont-ils intégralement déductibles ?
    Dépenses de repas et déductibilité de l’impôt sur les sociétés

    Toute dépense de repas engagée dans le cadre de l’objet social de l’entreprise – donc destinée à favoriser le développement commercial – est déductible du bénéfice fiscal de la société – à condition que le repas n’ait pas été pris seul.

    Autrement dit, dans la limite de dépenses raisonnables, le montant de tout repas au cours duquel l’associé – ou le gérant – invite un client, un prospect, un partenaire ou un fournisseur est déductible du bénéfice de la société.

    En revanche, si le gérant déjeune en solitaire – à son bureau, par exemple, ou en déplacement pour un ...

    Voir la réponse
  • Puis-je récupérer la TVA sur toutes mes dépenses ?
    TVA déductible ou récupérable

    Toute dépense qui a un caractère professionnel incontestable peut être admise en déduction du bénéfice de l’entreprise, et la TVA qui l’a grevée est remboursable par l’administration – on parle alors de TVA déductible ou récupérable.

    Toutefois, il existe des situations où les services de Bercy ont, soit posé des limites pour la récupération de la TVA, soit interdit le droit à déduction.

    Les limites du droit à déduction

    Les limites du droit à déduction affectent essentiellement les frais de déplacement, les cadeaux aux clients et, bien évidemment, les dépenses mixtes, c’est-à-dire pour un usage à la fois professionnel et personnel.

    Par ...
    Voir la réponse
  • Quel est l’impact de mes investissements sur mon bénéfice ?
    Amortissement comptable

    Un investissement, au regard du droit fiscal et comptable, est une dépense qui dépasse 500 € HT, et dont la durée de vie probable dépasse celle de l’exercice financier – par exemple, un ordinateur qui coûterait 900 € HT.

    Ce bien a été acquis par l’entrepreneur pour l’aider à réaliser son chiffre d’affaires, et il serait économiquement étonnant que cette dépense n’impacte que les résultats de l’année où elle a été engagée, alors qu’elle va contribuer à produire du chiffre d’affaires pendant plusieurs années.

    Le traitement fiscal et comptable consiste à étaler la dépense dans les résultats de la société.

    Ainsi, dans le cas de l’ordinateur qui ...

    Voir la réponse
  • Puis-je déduire des frais vestimentaires ? De déplacement ?
    Déduction des frais

    Par principe, au moment de calculer le bénéfice fiscal d’une activité professionnelle, il est déduit du chiffre d’affaires toute dépense qui a permis ou concouru à réaliser ce chiffre d’affaires.

    Toutefois, l’administration fiscale a défini certaines règles plus restrictives, qui concernent notamment les dépenses vestimentaires et de déplacement.

    Frais vestimentaires

    Les frais vestimentaires ne sont pas déductibles d’un bénéfice, sauf s’il s’agit de vêtements uniformes ou de sécurité.

    Le fait de devoir se vêtir d’un costume ou d’un tailleur pour assister à des rendez-vous avec des clients ne constitue pas une dépense professionnelle susceptible de venir en minoration d’un bénéfice fiscal.

    Il en ...

    Voir la réponse
  • Sans chiffre d’affaires, combien me coûte ma société ?

    Mis à jour le 05 octobre 2020

    Les coûts

    Les coûts à analyser sont les suivants:

    Charges sociales Charges fiscales Coûts administratifs

    Voici un tableau de synthèse (les explications sont en dessous)

      Année 1   En SARL, EIRL etentrepreneur individuel(hors auto-entrepreneur) En SAS Charges sociales 1.000 € – Charges fiscalesTVAImpôt sur les sociétésCFE Ce n’est pas un coût0 €0 € Ce n’est pas un coût0 €0 € Coût administratifs 1.000 € 1.000 € COUT TOTAL maximum 2.000 € 1.000 €   Année 2   En SARL, EIRL etentrepreneur individuel(hors auto-entrepreneur) En SAS Charges sociales 1.000 € – Charges fiscalesTVAImpôt sur les sociétésCFE Ce n’est pas un coût0 €400 € Ce n’est pas un coût0 €400 € Coût administratifs 1.000 € 1.000 € COUT TOTAL maximum 2.400 € 1.400 € Charges sociales

    En SAS, pas de rémunération = pas de charges sociales.Auto-entrepreneur ...

    Voir la réponse
  • La première année, ou même plus tard, l’activité peut dégager un résultat négatif…

    La différence entre le chiffre d’affaires et les dépenses d’une année est dans ce cas négative. Notons que cette situation ne peut pas se produire si l’entreprise est immatriculée sous le régime micro-entreprise ou auto-entrepreneur.

    Distinguons deux situations : une société soumise à l’impôt sur les sociétés ; une société soumise à l’impôt sur le revenu ou une entreprise individuelle.

     

    Société soumise à l’impôt sur les sociétés

    L’année du déficit, il n’y a pas de décaissement d’impôt sur les sociétés. Sauf à entamer des procédures fiscales plus complexes – report ...

    Voir la réponse
  • Dois-je racheter la société ou le fonds de commerce ?
    Que signifie acheter une société commerciale ?

    Acquérir une société commerciale consiste à acheter les parts sociales ou les actions à son ancien propriétaire.

    La structure ne fait que changer de mains, ce qui est à l’intérieur de la société ne bouge pas.

    Par exemple, le compte bancaire ouvert dans un établissement reste celui de la société, et l’ensemble des contrats conclus entre la société et des tiers continuent à produire leurs effets.

    Les risques liés à l’achat

    Acheter les parts sociales ou actions d’une société revient à prendre possession de la totalité de celle-ci, y compris son passé… La responsabilité des actes précédemment réalisés est ...

    Voir la réponse
  • Je veux racheter une entreprise, à quoi dois-je penser ?
    Evaluer les risques

    Acheter une entreprise présente a priori l’avantage immédiat de gérer une structure qui a déjà du chiffre d’affaires, des résultats – éventuellement à développer. Les étapes traditionnelles des créateurs (recherche des premiers clients, se faire connaître au minimum du marché, etc.) sont déjà réalisées.

    Dans un certain nombre de situations, l’investisseur peut se rémunérer tout de suite, une fois son acquisition réalisée.

    Toutefois, acheter comporte des risques significatifs, et il est primordial d’aborder cette question en amont avec une équipe de conseils qui suivra le repreneur tout au long de sa procédure : recherche et identification des cibles, diagnostic, négociation et reprise.

    Il s’agit ici de lister les ...

    Voir la réponse